etienne01

Ce nivellement par le bas, m'étonne de ta part. Si tu penses que pour trainer un tombereau de fumier un franc-comtois est plus adapté qu'un galopeur, je suis d'accord. Mais pour une seule raison : il est séléctionné génétiquement pour cela et adapté à ce travail. Il faut donc trouver une race adaptée à sa chasse, mais quelque soit la race, il faut toujours prendre les meilleurs. Pour deux raisons simples : un bon ne coute pas plus cher qu'un tocard et comprendra toujours mieux ce qu'on lui demande. Même si certains ont l'idée saugrenue de prendre un chien de grande quête pour le faire quêter dans leur pied, un bon comprendra toujours plus vite ce qu'on lui demande, avec plus de nez et de l'arrêt. ps : munsterlander très bon choix pour la polyvalence.

Autrement dit, vous pouvez prendre une mule pour courrir Chantilly... Ce conseil est selon moi très mauvais (désolé haiko). Qu'il s'agisse d'oiseau ou de chien, les origines ont une importance prépondérante. Quand on choisit un animal de travail, on choisit avant tout une génétique sélectionnée, adaptée au résultat que l'on veut obtenir. Avec une bonne souche de chien et comme le dit Sokol, il n'y a rien a faire ni à lui apprendre, c'est inné, il l'a dans le sang. Comme on apprend pas à un faucon à monter et a attaquer, on n'apprend pas à un chien à quêter ou à arrêter et le dressage n'est qu'une part infime du résultat. Je déconseille le dressage, qui coute les yeux de la tête et n'apporte pas grand chose à un chien de chasse, qui plus est en fauconnerie. Mieux vaut miser sur les origines (la différence de prix entre un chiot issu de bonnes origines et un tocard est de 0 à 100 euros ...)que sur un dressage qui peut couter jusqu'à 10 ou 20 fois le prix du chien ! Personne ne fera d'un âne un cheval de course, cela ne fait la fortune que des dresseurs, pour un résultat médiocre si le chien est mauvais. Ensuite aussi, il est vrai qu'il faut connaitre les origines - savoir les lire et les comprendre, savoir lire dans les sélections ce que l'on recherche. Vers quelle race vous orientez-vous et vers quel type de chasse ? Si il s'agit de setter, Pascal et moi-même pouvons vous aider, si il s'agit de pointer sokol.

Il n'y a rien à faire. Ce sont aux chiens de trouver la solution. Généralement, ils comprennent assez vite... Et retiennent bien. Ma plus vieille chienne se fixe et se cache la tête dès qu'un oiseau passe à proximité : de vieux souvenirs...

Franchement pas mal et surtout très bien armé pour un hybride.

En grand homme de communication, visionnaire de ce qu'allait être le marketing moderne bien avant l'heure, Paul Ricard disait : qu'on en parle en bien ou mal, l'essentiel est qu'on en parle.... Voici chose faite, donc dans tous les cas un beau coup de com. Orchestré par les sympathisants comme les détracteurs. Un constat qui devrait convaincre tous les fils de pub !

En tant que fauconnier Français, n'ayant rien à cacher, ni à me reprocher, je ne crains pas les coups de soleil. Et dors du sommeil du juste, sur les lauriers immaculés d'une conscience sans tache. Qui suis-je pour prétendre avoir mon nom sur la couverture ? Je ne suis qu'un humble et modeste participant, brindille plumitive dérisoire, titulaire de minces lignes griffonnées qu'il serait fort prétentieux de revendiquer.

Pour avoir participé à la rédaction de cet ouvrage, je me désole que les querelles Belgo-belges prennent le pas sur le bouquin. C’était à craindre. On comprend mieux qu’il n’y ait que des ouvrages anglicans disponibles. Loin de moi l’idée, d’imaginer le moindre soupçon, ni même le moindre début de commencement de mauvaise foi, au sujet « de la capture » des oiseaux utilisés en fauconnerie. Le terme « capture » soulève ainsi des protestations indignées de vierges effarouchées. En France, qu’est-ce d’autre qu’un désairage ? Si ce n’est une capture légale, d’un oiseau sauvage ? Ps : Lexego abandonne : le combat est perdu d'avance

Rns / Barbarie ? Très bel oiseau - très belle prise.

Sans moi cette année pour Dresde, idem Houate. Ma meilleure forme est dispo, si un du cercle européen veut enfin briller en Allemagne. http://i58.servimg.com/u/f58/12/56/90/11/img_4210.jpg https://servimg.com/image_preview.php?i=15&u=12569011 Vraiment déçu pour Dresde qui est sans conteste le top du top tant au niveau des territoires et du gibier que de la qualité des participants sélectionnés. Après l'annulation de l'Ecosse, une saison particulièrement compliquée... Difficile d'avoir 3 pélerins sur l'aile avec deux béquilles et une jambe en moins. https://servimg.com/image_preview.php?i=17&u=12569011 https://servimg.com/image_preview.php?i=16&u=12569011 La fauconnerie supporte difficilement le handicap, c'est tant mieux pour les affaires qui supportent difficilement la fauconnerie !

J'avais déjà donné une réponse assez complète au sujet de la détention, sans réponse. C'est pour cela que je m'interrogeais.

La réussite sur bécasse passe incontestablement par et avec le chien : l'oiseau doit être bloqué a l'arrêt du chien. Si vous approchez plus une bécasse sans chien qu'avec un chien : changez de chien. Il faut combiner les deux : Un chien bloqué, la bécasse localisée et l'oiseau branché ou au poing. Avec un chien confirmé, il n'est pas rare de voir la bécasse au sol. La vue de l'oiseau renforce aussi l'immobilité de la bécasse si cernée par deux prédateurs potentiels. Si elle est bloquée par le chien + l'oiseau et que vous la voyez, vous mettez évidement toutes les chances de votre coté. Le chien ne doit pas être considéré comme un leveur mais comme un indicateur de la position de la bécasse qui vous laisse le temps d'organiser la scène de chasse. Si vous avez vraiment des bécasses organisez l'action, mieux vaut faire une bécasse dans la saison que vingt faisans. Pour la chasse que nous pratiquons sur tétras, et qui se rapproche de celle de la bécasse, toute la difficulté est d'organiser l'action. Les chiens ont des sonnettes, très vite les oiseaux comprennent que l'arrêt du tintement correspond à l'arrêt du chien. De même, les faucons se centre sur les chiens à l'arrêt. Un chien à l'arrêt + un oiseau centré maintient le tétras bloqué, et permet donc d'optimiser les chances de prise.

Bonsoir, Plusieurs observations Plusieurs bécasses ont été prises à la Harris. Les conditions jouent beaucoup. La difficulté de la bécasse est surtout de la trouver, d'avoir des conditions d'attaques favorables. Pour avoir beaucoup chassé la bécasse, et sur des centaines de levées je pense avoir eu réellement moins de vingt ou trente conditions favorables avec un oiseau. Ce gibier est surprenant, c'est aussi ce qui en fait son intérêt. Certaines bécasse sont exténuées par la migration, se remisent régulièrement sur des vols courts et dans ces conditions il n'est pas impossible d'envisager une prise en bas vol avec des chiens bien mis. Il n'y a pas de gibier imprenable pour celui qui s'en donne les moyens, a les conditions d'attaque et la connaissance du gibier. J'avais mis un pèlerin à la bécasse, qui centrait sur moi au dessus des bois. Mais pas assez d'occasions...dommage...

Je suis surpris. À chaque fois vous lancez des sujets. On y répond et plus personne ? Quel est le but ?

Tout dépend de la perception que l'on a du monde qui nous entoure. Et aussi de l'idée que l'on se fait du monde animal. Il y en a qui apprécient de voir des petits singes déguisés jouer du tambour... Bon, je ne partage pas, mais chacun son truc. L'idée que l'on detienne ces espèces, au plus proches de leurs conditions naturelles, en les entraînant, en leur laissant une totale liberté chaque jour, en leur permettant même de la reprendre en pleine forme, cela pour assouvir notre plaisir de chasser en leur compagnie, comme le font les fauconniers, est déjà difficile à défendre. Mais il certain que nous ne faisons rien pour dénaturer ces espèces, ni les amoindrir ou les exploiter en dehors de ce pourquoi elles existent. Il est assez triste qu'en 2013, ces espèces joyaux d'adaptation et de predation soient toujours considérées comme des objets ou des petits jouets. Et qu'on les asservisse pour amuser les poivrots. On revient au temps des montreurs d'ours. Triste aussi que l'homme est abandonné son lien avec la nature et qu'il faille aller dans un bar pour voir une chouette.

Pourquoi ? Une voyance ou une prévision basée sur des faits ? Ne basculons pas dans le populisme. En l'occurrence cela n'est pas d'actualité. Et je ne crois pas a un retour possible en arrière à cours terme. C'est heureux.

Sujet maintes fois abordé sur le forum. Pour répondre à votre question "théorique" En résumé des textes et dans les grandes lignes : 1. La détention d'un rapace est autorisée aux seuls fauconniers pour la chasse au vol et uniquement dans ce but. Avec un nombre limité et pour des oiseaux de chasse définis : dans les grandes lignes : faucons, autours, éperviers, buses américaines, aigles + gd duc. Pour cela il est nécessaire de chasser et d'obtenir de la préfecture une Autorisation d'elevage d'espèces non domestiques utilisables en chasse au vol. 2. La détention des rapaces est autorisée pour présentation au public, sans limite d'espèces. Pour cela, il est nécessaire d'obtenir un certificat de capacité. Ce certificat n'est accordé qu'à des personnes pouvant justifier d'une grande expérience dans ce domaine et parfaite connaissance du milieu (au moins 5 ans d'expérience professionnelle, ect..) Ces autorisations sont accordées au compte-goutte, généralement à une minorité de professionnels des rapaces, uniquement dans le cadre d'un projet professionnel concret. Donc en clair et en résumé : Cas N°1 : pour les particuliers Soit vous chassez et dans ce cas vous avez la possibilité de détenir un oiseau de chasse, Soit vous ne chassez pas et vous ne pouvez pas en détenir. Cas N°2 : pour les professionnels Le capacitaire est détenteur du droit de détention, dans le cadre de son activité professionnelle. Dans ce cas, il est bien entendu fondé à embaucher du personnel, qui se chargera des soins des oiseaux. Mais lui seul à le droit de les détenir dans le cadre de son activité. De même ces oiseaux ne peuvent être utilisés pour la chasse au vol. Pour ce qui vous concerne, si vous souhaitez monter un projet professionnel de ce type, il faut être capacitaire. Attention, une fois la capacité acquise, le parcours du combattant ne fait que commencer. Il faut ensuite obtenir de la préfecture l'autorisation d'ouverture de votre établissement , qui s'apparente à une installation classée, au même titre qu'une décharge ou une centrale d'incinération.... Attention également détenir des oiseaux de chasse, ne vous autorise en aucun cas à les présenter au public dans le cadre d'un projet professionnel. La loi est ainsi bien faite, elle différencie clairement l'utilisation pour la chasse à des fins de loisir et/ou l'utilisation professionnelle.

Eh oui, c'est aussi simple... : "appartenant aux espèces ou groupes d'espèces inscrits à l'annexe 1 du présent arrêté" En clair, tous ceux qui n'y sont pas sont interdits. Durax lex sed lex...

La réponse est dans la question, la buse et l'aigle royal sont autorisés. L'explication ? : Dura lex sed lex.

J'ai bien compris Il n'en demeure pas moins, qu'il est regrettable que vous n'ayez pas été mieux informé. Pour conduire, vous êtes bien obligé de passer le code et d'avoir le permis. Vous n'irez pas expliquer au gendarme qui vous contrôle que les textes du code étaient trop compliqués pour vous. Pour détenir un oiseau, c'est pareil.

Etre informé, connaitre le droit et être en règle avec la législation fait partie de la fauconnerie. Etre informé de ses droits et devoirs est une étape primordiale et préliminaire dans la formation d'un fauconnier. En outre, Je trouve étonnant : 1. Qu'on démarre un oiseau au mois de Novembre 2. Qu'on détienne un oiseau avant de maitriser totalement les conditions législatives de détention. Il était un temps ou les parrainages au sein de l'Anfa voulaient dire quelque chose. Mais êtes-vous réellement parrainé par un membre de l'Anfa ? Grace à l'Anfa, nous bénéficions d'une législation simple et adaptée à notre passion. L'intégralité des textes législatifs sont disponibles sur internet en deux clics. : la fauconnerie nécessite aussi certains efforts, celui de connaitre et maitriser une législation simple ou de se la faire expliquer avant de démarrer en fait partie. Il semble que l'on ai oublié, que l'éducation au sens large de tous les postulants permet de garantir l'image de probité et de sérieux de l'ensemble des fauconniers. Nous sommes une minorité, et à ce titre nous nous devons d'être plus informés, plus éduqués, plus sérieux que les autres, car chaque défaillance individuelle entache la réputation et l'image de tous les fauconniers.

Tout à fait juste, je constate le même phénomène.

Oui, c'est fort possible... La majorité des Setters ont des problèmes d'oreille. Je pense que cela est lié aux poils.

Une harris gueularde qu'on entend plus ? Donne la recette du kyste, cela va en intéresser plus d'un !

Un franc coup de bol ! Tu as de la chance d'être tombé sur des plus abrutis que toi ! A ce niveau là, c'est même miraculeux...

Un problème récurent chez certains Setters.... Nettoyer et mettre des gouttes contre les otites.