Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…

etienne01

Membres
  • Compteur de contenus

    1 732
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par etienne01

  1. etienne01

    Saison 2013-2014

    En hommage à Sokol, et en remerciement pour son excellent tiercelet, j'ai décidé de l'appeler "Save the republic"! L'autre choix était Sarko...mais bon..
  2. Je comprend votre attachement à vos oiseaux, et votre volonté mais maintiens malgré tout mon avis. Et d'autant que ces oiseaux sont presque allongés. Si un problème survient en captivité à l'éclosion ou dans les jours qui suivent, il est normal de les traiter. Mais une fois que les jeunes ont démarré et commencent à s'émanciper, si un problème survient c'est forcément que cet oiseau a une faiblesse. Et qu'il n'aurait probablement déjà pas survécu dans la nature sans vos bons soins. Sauf rare exeption, qui confirme la règle, tous les oiseaux que j'ai eu et qui avaient présenté une faiblesse à un moment ou un autre, n'ont pas été bons. Dans le meilleur des cas, soit cette faiblesse nous est indédectable, soit elle devient ensuite totalement invalidante pour l'oiseau à plus ou moins long terme. A l'état naturel, seul environ un jeune sur 4 s'en sort. La moindre défaillance ou anormalité est immédiatement sanctionnée. En captivité, nous éliminons déjà 80 % de cette mortalité, ce qui est déjà un franc succès pour l'éleveur. Est-il vraiment besoin de s'acharner pour aller au-délà, avec des oiseaux qui présentent des troubles anormaux à un stade ou ils devraient pouvoir se débrouiller seuls ? Je ne pense pas et je crois donc qu'il faut laisser faire les choses à ce stade. Soit cet oiseau est viable et il s'en sortira sans vous, soit il vaut peut-être mieux laisser faire la nature -même en captivité -. Il serait intéressant d'avoir l'avis de vétos sur la question... La sélection naturelle des oiseaux de chasse en captivité est-elle "injuste"?
  3. Dans tous les cas, c'est assez mal barré. Si on imagine la volonté bien compréhensible de sauver à tout prix les oiseaux qu'on élève, il faut aussi se poser la question de la finalité. Quand on s'acharne et qu'on parvient à les sortir de ce mauvais pas, il reste des séquelles dans 95 % des cas et surtout à ce stade de développement. Pourquoi ce jeune et pas les autres ? Quelques soient les raisons, les carences éventuelles, les conditions d'élevage, ect... Il s'agit du plus faible et de celui qui n'est pas parvenu à s'adapter à ces conditions. Si certains jeunes ont des problèmes, c'est aussi probablement qu'ils n'étaient pas destinés à survivre. Il faut aussi parfois se résigner à l'accepter plutot que de s'acharner. Une question : les jeunes ont-ils possibilité de se mettre au soleil ? Des carences de ce type peuvent aussi être déclenchées par un manque d'ensoleillement de la volière. L'exposition au soleil permet d'assimiler certaines vitamines rares ( B11 par exemple) qui influent directement sur le système musculaire de l'oiseau.
  4. Je ne crois pas... Mais si vous êtes inactif, vous êtes déconnecté automatiquement.
  5. etienne01

    Saison 2013-2014

    Un de mes oiseaux un tiercelet de pélerin beaucoup plus petit que celui-ci, et avec des mains beaucoup plus fluettes, a ouvert le crane d'un grand duc comme une pastèque. A méditer, pour ceux qui imaginent que la chasse au vol dépend du poids et de la force des mains ! Autrement, un conseil, prend un casoar !
  6. etienne01

    Saison 2013-2014

    FLUETTE ?? Met ta harris dessous et on en reparle !
  7. Bonjour. Je trouve votre manière d'aborder les choses intéressante et très organisée. Bravo tout est fait dans l'ordre et dans les règles. C'est la meilleure manière de commencer et de réussir. Donc à bientôt bonne chance et bienvenue.
  8. Une bague pour l'oiseau, l'autre pour l'adresse et nom de l'éleveur. Bien pratique quand on perd son oiseau
  9. Bien vu Enfin un adepte du second degré ! ça fait du bien !
  10. Une belle galipette à la sokol ! Oui pas mal. Une nouvelle sélection sur la couleur sans doute ...? Ou t'attaches-tu désormais à des critères, plus cynégétiques ?
  11. Réflexion dénuée de sens. Si certaines populations isolées sont consanguines, cela fonctionne non pas parce que la nature "les accepte", mais bien parce qu'elle ELIMINE TOUT DEFAUT pouvant nuire au développement d'une espèce et aussi parce que l'appauvrissement génétique liée au biotope ne permet pas d'alternative dans le cas du Fidji. Si des souches consanguinent survivent, c'est que la sélection naturelle à fait le tri et opéré une sélection que nous sommes incapables d'apprécier en captivité ! Pour les oiseaux détenus, c'est même parfois tout l'inverse, nos critères souvent subjectifs ( couleur, taille, ect...) n'ont rien à voir avec la sélection naturelle. Il s'agit d'ailleurs bien d'une abération naturelle que de selectionner des oiseaux de chasse sur la couleur, comme sur des lapins nains... Et cela si cela n'a que très peu d'influence sur deux ou trois générations, nous sommes incapables d'apprécier des déficiences invisilbles sur le long terme. Ce n'est donc pas parce que certaines espèces sont consanguines car adaptées à leur biotopes à l'état sauvage, qu'il en est de même en captivité. Le schéma de séléction - sauf coup de bol incroyable - étant impossible à reproduire artificiellement.
  12. Il serait intéressant d'avoir son avis sur la question. Et notamment de savoir à quel niveau générationnel il se situe vis à vis de sa sélection en consanguinité. Et surtout dans quelles proportions au niveau du nombre des oiseaux. S'agit-il d'une vraie sélection ou d'une opportunité ?
  13. La consanguinité avec les faucons...j'ai clairement un doute.. La raison en est simple. Pour que cela fonctionne, il faut jouer sur le nombre et opérer une sélection, sur des critères purement subjectifs, qui n'ont rien a voir avec la sélection naturelle. En théorie cela fonctionne avec toutes les espèces. En pratique et sur le long terme, ce n'est pas sur un ou deux oiseaux qu'il faut travailler, mais sur des dizaines, en éliminant strictement tout individu, qui ne rempli pas les objectifs et critères requis. Donc partir de souches sélectionnées et accepter au fil des générations d'euthanasier, tous ceux qui présentent le défaut le plus minime. Tout le problème de la consanguinité se pose la : les qualités sont fixés de manière aussi exponentielles que les défauts ... Si on ne retient qu'un seul critère : couleur ou taille par exemple, cela fonctionne assez facilement. Mais si l'on veut prétendre sur le long terme vouloir en plus sélectionner sur d'autres critères, caractère, chasse, ect, il faut jouer sur la masse. Et ce n'est pas en sortant deux ou trois oiseaux consanguins par an et en les conservant tous qu'on y parvient...
  14. Mouais...pas tout à fait proches quand même. C'est surtout la couleur et la structure des plumes qui me fait dire ça. Il y a 15 jours on penchait pour le cassini et 8 jours avant pour le black.. Pas simple avant qu'ils soient allongés. Et si ça se trouve on se trompe...
  15. Une fois allongé, cela parait plus évident : je penche pour le red napped.
  16. Bonjour, Un premier oiseau sur l'aile depuis hier. Un jeune tiercelet de brookei, généreusement offert par Sokol. Nous connaissons bien la souche depuis des années et avons déjà une forme, soeur de ce tiercelet. Magie de la génétique, il semble qu'il n'y ait peu, voire aucun "déchet" sur ces oiseaux. De tous les jeunes que nous avons vu voler de cette lignée, depuis 5 ou 6 ans, tous sont performants, ce qui est très rare. C'est aussi pour cette raison que nous souhaitions impérativement voler un tiercelet de cette souche cette année. L'introduction d'hier, ne nous fait pas regretter ce choix exceptionnel de reprendre un oiseau de même souche, bien que ne nous préférons généralement ne pas détenir deux oiseaux de même lignée. Un affaitage tranquille et assez long par rapport à nos habitudes ( c'est à dire environ 15 jours) L'oiseau n'a pas été abaissé, connaissant le caractère arrogant de la famille, nous avons fait le choix d'un conditionnement en douceur avec une sociabilisation permanente d'un oiseau mis au bloc en notre compagnie nuit et jour. Hier soir, première mise sur l'aile et pas de doute, nous avons fait le choix d'un des meilleurs oiseaux de vol. Dès le premier tour, l'oiseau s'élève naturellement et monte directement à 50 / 60 m. Le coup d'aile est littéralement éclatant. Un peu perdu comme tous les niais, il ne revient pas directement au leurre et nous le perdons de vue. Après 2 minutes de recherche, l'oiseau est repéré : il est à une petite centaine de mètres, décalé de 2 ou 300 m. Un beau piqué de retour au leurre, qu'il écume à 7 ou 8 reprises. La vivacité est stupéfiante, pour un oiseau qui n'a jamais volé, avec même une vrille sur un retour au leurre. Nous le récupérons ensuite facilement sur le leurre ( sur lequel il ne mange pas ...) Une fois récupéré, il se décidera enfin à manger un demi filet sur le bloc. Aujourd'hui, ni vol ni nourrissage, pour un démarrage sur pigeon dès demain. En plusieurs années de haut vol, jamais un oiseau ne m'a fait une telle impression : vivacité, habileté, pureté du vol et légèreté d'élévation. Le caractère est très fort, ce qui me plait également beaucoup, avec un oiseau qui ne se laisse pas dominer. Dans tous les cas, au premier coup d'aile, il est certain que ce faucon est bon, très bon et sort de l'ordinaire. La pression est d'autant plus forte, que si nous échouons avec cet oiseau, cela ne viendra que des fauconniers... Ce faucon a tout. Reste à espèrer que nous serons à la hauteur.
  17. Embrouilles d'éleveurs pour refourguer leurs fonds de volières ! Un autour de plus sur 18 aires : En trois semaines félicitation. Génération spontanée ou étonnants comptages de l'institut Royal des sciences naturelles ? Cela a toujours été : 10 000 selon les organisateurs ; 1000 selon la police ! Ne s'agit-il pas plutot d'une confusion : 18 autours sur 3 aires ?
  18. L'anfa annonce une saison exceptionnelle pour la reproduction des autours dans les aires recensées. Des couvées moyennes de 3 à 4 jeunes par aires. Ce qui semble également rejoindre nos observations locales au niveau des éperviers. On est loin des deux jeunes pour 18 aires ! Visiblement les autours ne tiennent pas compte des prévisions de luminosité
  19. Je ne savais pas, ça à l'air pas mal, enfin un outil pour les professionnels de la volerie. Même si à mon avis les débouchés sont limités et qu'il y aura nettement plus de postulants que de postes à pourvoir.
  20. Il n'y a aucune formation agréée, ni sérieuse en France. Cela s'apprend sur le tas, au fil des rencontres contacts et affinités. Je crois que votre message est passé. Bonne chance.
  21. Effectivement la Belgique est plus libertaire dans ce domaine, au moins pour ce qui est des autorisations de détention. Mais en Belgique comme en France, il ne suffit pas de détenir des oiseaux pour pouvoir en vivre. Des éleveurs Belge de renom sont sur ce forum et peuvent vous en parler c'est avant tout la capacité des éleveurs à sélectionner des souches de chasse qui est recherchée. Tous sont fauconniers. Ceci étant dit, et vous l'avez vu par le biais de tous les témoignages, la logique de la connaissance de ces oiseaux passe par leur utilisation en chasse. La volerie est bien entendu un autre sujet, à vocation ludique et pédagogique Ce n'est ni par fanatisme, ni pour vous décourager, que nous abordons ce sujet par ce biais, mais simplement parce qu'il s'agit pour nous peu concevable d'envisager de détenir des rapaces comme des oiseaux de volière, sans jamais découvrir et exploiter leurs réelles capacités. La meilleure école, la plus simple et la seule légale en France est donc d'entrainer son oiseau à la chasse, de chasser et rencontrer d'autres fauconniers dans le cadre de ses loisirs. L'autre est de se faire embaucher dans une volerie, pour s'y faire une expérience. Mais même dans le milieu des voleries, la grande majorité des dresseurs sont également fauconniers. Ce métier leur permet de pouvoir vivre leur passion des oiseaux et de la chasse au quotidien. Il y a également les parcs ornithologiques qui semblent plus correspondre à votre profil.
  22. Euh...il n'y a presque pas de peal dans les hybrides...ou alors plus que 25 % par pm, dans le premier.
  23. Je trouve la réponse assez et géniale : "vous saviez que vous aimiez les huîtres avant d'y gouter " Eh bien, non et c'est justement pour cela qu'il faut y goûter avant de s'afficher comme passionné. Pour y goûter et faire de la sensibilisation, il faut passer par la chasse au vol. Et être assez passionné par la chasse et les oiseaux pour s'y tenir. La différence avec des huîtres et un oiseau, c'est que si vous ne les aimez pas, vous balancez la bourriche. ( sauf si ce sont celles de Darwin !!)
×
×
  • Créer...