-
Compteur de contenus
1 732 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Blogs
Boutique
Calendrier
Téléchargements
Galerie
Articles animaux
Sites
Annuaire animalier
Petites annonces
Tout ce qui a été posté par etienne01
-
développons nos connaissances ....
etienne01 a répondu à un(e) sujet de nebli dans Ornithologie - Observations - Ethologie
Moi aussi ! Mais c'était une mouette ! Blague mise à part, quelle était réellement cette observation : 1. S'agit-il d'un rapace ? 2. S'agit-il d'un faucon ? 3. Qu'est-ce qui vous permet d'affirmer qu'il s'agissait probablement d'un gerfaut ? Après plusieurs dizaines d'années d'observations de faucons, il me serait très probablement très difficile de reconnaitre un gerfaut si j'en voyais un ! Si il ne s'agit que de la couleur, oubliez ! Il peut s'agir de buses variables, de busards, d'autours, d'éperviers, au mieux de pélerin. En résumé de presque tous les rapaces sauf d'un gerfaut. -
-
Oui, les jeunes doivent être cèdés, mais avant de l'être, il faut bien qu'ils naissent et les détenir !!!! Et dans sa grande sagesse, le législateur nous autorise à détenir 6 oiseaux, ainsi que le produit de leurs unions en attente de leur vente ! Et c'est heureux, sinon que faire en cas de repro ? casser les oeufs ? (même en ne détenant que 3 oiseaux on peut se retrouver avec 7 donc un de plus si 4 oeufs sont pondus !) Sur ces oiseaux, seuls les reproducteurs sont considérés comme oiseaux de chasse au vol, et les jeunes peuvent par conséquent être détenus en attendant d'être "cèdés". Au stade actuel, si j'ai trois couples d'oiseaux de chasse au vol et que ces trois couples reproduisent 12 oiseaux, j'ai parfaitement le droit de détenir 18 oiseaux, mais de n'en utiliser "que" six en chasse au vol. Décidément, ce post est bien trop compliqué pour moi ! Je cède la place à quelqu'un de plus patient, il devient lassant d'ergoter en permanence pour ne rien dire.
-
-
Je ne sais pas ou tu vas chercher tout ça : toujours plus que ce qui est demandé. Il y avait une pub : monsieur plus ! L'élevage d'agrément permet de détenir 6 oiseaux et de les reproduire : on parle d'autorisation d'élevage d'agrément : tout est dit dans le titre. Il n'y a besoin de rien de plus, de même le nombre de jeunes produits n'est pas limité et leur cession n'est pas exclusivement limitée aux chasseurs au vol. Comme en chasse au vol, il vaut mieux savoir se limiter et ne garder que les oiseaux polyvalents, utilisables et performants, plutot que d'en avoir 15 sur 20 qui restent à la perche. En chasse au vol, très rares sont ceux qui peuvent se vanter d'avoir plus de deux ou trois vrais oiseaux de chasse, en tout cas pas moi ! Il en est de même en effarouchement, ou il parait très difficile de pouvoir s'occuper correctement de plus de 6 oiseaux, sans parler des frais, des difficultés de déplacements et des soins à apporter à ceux qui ne volent pas quand on doit assurer des prestations éloignées du lieu de détention. Dans la grande majorité des cas, au moins sur pigeon, deux harris bien mises permettent de traiter 80 % des affaires. Avec un équipage de bas vol + deux bons faucons, on couvre à peu près toutes les possibilités d'effarouchement : à priori en limitant à deux chantiers par jour par oiseau, donc 12 chantiers par jour avec 6 oiseaux, il y a peu d'effaroucheurs seuls qui sont capables d'assurer correctement un tel volume de prestation. Evidement on peut toujours faire plus, mais après se pose aussi l'utilité de prendre plus de contrats qu'on ne peut en assurer. Dans ce cas, il vaut mieux choisir ses contrats en fonction de ses oiseaux et de ce qu'ils rapportent plutôt que d'augmenter le nombre d'oiseaux. Faire mieux, plutôt que plus.
-
-
island girl saga d'une migration.
etienne01 a répondu à un(e) sujet de nebli dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
-
-
Je comprends bien ce que tu veux dire et partage ton avis sur de nombreux points. Evidemment qu'il est bien plus commode et pratique d'avoir une capa pour pratiquer l'effarouchement, ne serait-ce que pour le nombre d'oiseaux détenus et l'entretien de bonnes relations avec l'administration. Par contre, il faut rester extrèmement méfiant, sur l'éventualité d'une législation particulière qui serait mise en place concernant l'effarouchement. Il ne faut pas s'y tromper, ni vous ni personne ne pourra maitriser ce qui en sortira.... L'harmonisation dont tu parles risque bien de mettre en péril votre outil professionnel, selon ce qu'en sortira un fonctionnaire plus ou moins zèlé, plus ou moins muselé par une administration plus ou moins dirigée par un ministère à tendance plus ou moins écolo : aucune certitude même quand à l'autorisation de la légalité de cette pratique ! Juridiquement il s'agit d'un réel imbroglio ! Comment qualifier jurdiquement l'effarouchement : s'agit-il de chasse ? Si on considère que oui, faudra-t-il obtenir l'autorisation des détenteurs des droits de chasse du lieu ou on intervient ! Suivant quelles modalités ? Faudra-t-il être titulaire du droit de chasse dans chaque ACCA, société, propriétaires, avec les frais importants que cela induit, Ect... Si ce n'est pas de la chasse, comment justifier le risque de prise ou même l'utilisation des oiseaux ? Comment utiliser un oiseau en dehors du cadre législatif qui encadre la détention des oiseaux de chasse au vol, etc... On ne peut imaginer que le pire, il nous a fallu plus de 50 ans de bataille juridique et politique pour obtenir enfin une législation adaptée à la chasse au vol ! Si une législation spécifique était mise au point pour l'effarouchement, il faut pas croire que cela serait différent, même si les sociétés d'effarouchement y étaient associées. Aujourd'hui, même en admettant que le cadre légal est un peu bancal, il faut reconnaitre que le flou législatif permet aux professionnels de travailler en toute liberté avec des contraintes administratives minimum. Que vouloir de plus ?????? Risquer de se faire imposer des règles contraignantes ? ou même de voir interdire l'effarouchement ? En l'occurence, en l'absence de législation adaptée, en cas de conflit, c'est la jurisprudence au fil des années qui définira progressivement le statut de cette profession, avec selon moi un risque bien moindre que de voir sortir une réglementation totalement inadaptée à cette pratique. Il faut donc au contraire tout faire pour tenter de maintenir le cadre "chasse au vol - élevage d'agrément" qui ne colle pas si mal à cette activité ! Aujourd'hui Berger intervient en effarouchement sans contraintes, et en toute légalité, en quoi cela peut-il gêner qui que ce soit ? Si il est bon, il aura des contrats et dévelloppera son activité, si il est mauvais le marché le poussera à changer de profession ou il finira par se faire embaucher par un bon : peut-être toi ! Pourquoi vouloir tuer administrativement dans l'oeuf, la poule qui pondra peut-être un jour ?
-
-
Au dela des oiseaux, on s'aperçoit que ce qui manque le plus est avant tout une formation de base à la gestion d'entreprise, au marketing et au minimum de connaissances juridiques qui vont avec ! Bon pour faire simple : Sans parler de la confusion totale sur le contexte de l'application de ces textes , ne retenons que l'essentiel : tout ou partie de l'espèce protégée En clair on ne peut vendre ni l'oiseau, ni une plume de l'oiseau, ni un oeuf etc... Une société d'effarouchement ne vend pas d'oiseaux, encore moins une partie d'oiseau : elle vend une prestation de service, au même titre juridiquement qu'un médecin, un avocat, un architecte, un écrivain publique, etc... A ce titre juridiquement, elle est assujétie aux mêmes règles et devoirs. Pour ce qui est d'ouvrir une boulangerie, un atelier de menuiserie, un restaurant, une épicerie ou tout autre commerce, je te confirme, qu'il te suffit d'ouvrir ton commerce, de déclarer ton activité, d'être assuré, de payer tes contributions sociales et tes impôts ! , au même titre que pour l'effarouchement. Mais sur le fond, il y a effectivement deux écoles : savoir lire le droit ou se le faire interpréter par un juriste ou se sentir inférieur et subir les foudres injustifiées d'une administration qui a bien compris qu'en l'absence de règles, elle pouvait s'appuyer sur la collaboration bien intentionnée "des bons effaroucheurs" pour inventer une réglementation inexistante. Je le répète, ce ne sont ni la ddaf, ni l'oncfs, ni moi-même qui pouvons dire la loi : seul un juge en a les compétences. En l'absence de jurisprudence en la matière : rien ne permet à ce jour d'exiger une capacité pour faire de l'effarouchement. Tant mieux pour ceux qui en sont titulaires, cela ne peut être qu'un plus, mais en aucun cas être considéré comme une autorisation ou un permis de pratiquer cette profession. Sur ce forum, je me suis toujours battu pour que la réglementation soit appliquée strictement concernant la détention des oiseaux de chasse, pour le bien-être des oiseaux et il en serait de même concernant l'effarouchement si une réglementation existait. Hors, elle n'existe pas ! Nous n'allons tout de même pas être plus strict que la loi, ni l'inventer ! Donc je crie, vive la liberté d'entreprendre, vive la liberté de travailler et de payer ses impôts ! J'espère qu'avec les années, tu comprendras qu'une des premières règle commerciale est de ne jamais vendre sa sauce en s'appuyant sur les faiblesses des concurents, mais au contraire en les ignorant. Seul prime son propre savoir faire qui est le seul et unique gage de réussite et de pérennité d'une affaire, que tu sois boulanger sans cap ou effaroucheur sans capa ! . Cap ou pas, si le pain est bon tu auras des clients, sans avoir besoin de dire du mal de ton voisin parce qu'il n'a pas son cap et c'est l'essentiel !
-
Cessez de demander à un président de ligue anti-alcoolique si vous avez le droit de boire ! Dans le pire des cas, seul un juge est compétents pour dire le droit pas les ddaf ni l'oncfs, et capacité ou pas, la question abordée sera d'ordre juridique portant sur le statut de l'effarouchement pas sur la "capacité" des personnes à faire de l'effarouchement , grands naifs ! Ce genre de sujet est infini car les gens ne parlent pas en droit, mais en ce qu'ils en espèrent ! Les capacités : pour ouvrir un établissement classé de présentation au public ou itinérant ou pour l'élevage : vous y en a comprendre ? ça y en pas concerner les activités d'effarouchement pour l'instant ! Comment pratiquer son métier sans validation professionnelle ? Ah là là ... quel soucis ! Comme dans la majorité des professions ou rien n'est requis : boulanger, platrier, menuisier, cuisinier, bureau d'étude, juriste : en étant le meilleur dans son domaine ! C'est à croire que c'est cela qui vous fait soucis. Les meilleurs en effarouchement, qui pratiquent depuis des années, ne se posent pas la question de qui pratique ou a le droit de pratiquer. Ils pratiquent, en vivent, traitent des affaires et ne s'occupent pas des autres. Cette mentalité pétainiste est lamentable.
-
Franchement la chienne ne me plait pas trop, bien angulées mais trop longue à mon gout ( mes critères sont très partiaux et ne préjugent en rien ni de la beauté du chien, ni de son efficacité ). Dans tous les cas, la souche parait assez bonne des deux cotés ( du radentis ), mais moins du coté de la mère de la chienne.
-
En droit Français, il est d'usage d'appliquer les textes, pas de les interpréter à la sauce commerciale visant à limiter la concurence. En l'état, et à moins qu'une jurisprudence ne vienne à le contredire, une capacité est nécessaire pour élever des oiseaux ou les présenter au public. Que les ddaf préconisent une capa, c'est assez logique, - et bien dans l'esprit administratif Français qui souhaite toujours encadrer tout ce qui ne l'est pas - mais sans aucune justification législative, ni même pratique, puisque les capacités ne traitent pas des compétences d'un fauconnier à pratiquer l'effarouchement. : oui on y est... A ce jour donc, l'activité d'effarouchement bénéficie d'un flou juridique absolu, puisque rien ne défini les modalités de pratique, de compétence ou d'acquisition d'un savoir faire. Pourquoi faut-il toujours que certains exigent qu'une législation encadre une activité qu'ils peuvent exercer librement. Si demain le legislateur, se penche sur la question, vous devriez au contraire vous inquièter de savoir si les compétances requises ne seront pas telles qu'elles rendront votre pratique totalement impossible ou beaucoup plus compliquée à exercer du fait de la complexité juridique ou administrative qui en découlera.
-
-
-
Mouais... Tout ça est limite et ressemble plus à une lutte concurentielle entre effaroucheur, qu'à une mise au point legislative. Je ne savais pas que désormais cette activité nécessitait capacité : merci de faire suivre la réglementation en vigueur qui doit être récente. Pour le reste, les appels à l'humilité et les cours d'éthiques... Merci bien .... Le savoir faire en matière d'effarouchement seules deux ou trois personnes en France peuvent se vanter d'en bénéficier et pour l'obtenir, il faut bien commencer.
-
thyroide pour la mue ....
etienne01 a répondu à un(e) sujet de nebli dans Biologie et santé des oiseaux de chasse
Je ne sais pas si tu l'as vu car l'anecdote doit dater d'il y a environ 20 ou 30 ans ... Un article était je crois paru dans l'anfa, il devait s'agir d'un des premiers essais effectué à ce sujet. Essai fructueux, si il en était, afin de prouver l'influence de l'ingestion de tyroide sur la mue ! Depuis, je pense en effet que les traitements ont du largement progresser. Mais on peut faire aisément progresser la mue sans user de traitements chimiques aussi radicaux. Il y a plusieurs légendes qui paraissent totalement erronées au sujet de la mue, la chaleur par exemple. Avec l'expérience, je me suis aperçu que la chaleur n'avait certainement pas l'influence qu'on lui impute, en fait c'est la photopériodicité qui influe. En montagne, mes oiseaux commencent à muer toutes les années dès début Février, avec des températures parfois inférieures à -20 °. La mue est généralement totalement achevée dès mi-Juin début Juillet. Soit une mue complète en environ 4 à 5 mois. -
-
Utilisant pointer et setter en compagnie en montagne, on s'aperçoit que la prise d'effluve est totalement différente. Suivant l'hydrométrie, là ou arrête le pointer, le setter peut passer à coté et inversement. Avec en plus des quêtes totalement divergentes, il s'avère que ces deux races sont absolument complémentaires utilisées ensemble. Pour le lagopède ma préférence ira plutôt au pointer, pour le tétras, le setter est nettement supérieur car il sa quête est naturellement dirigée vers toutes les remises, ce qui n'est pas le cas du pointer qui à plus tendance à opérer une quête très systématique sans tenir compte du terrain. Le pointer n'a naturellement pas "le pied montagnard", son travail tout en puissance lui nuit incontestablement, notamment dans les pentes raides ou il faut parfois savoir faire un petit détour apr les arrêtes, plutôt que de passer en force coute que coute. L'idée de tenir les pointers en laisse et de ne les travailler que par période sur les secteurs à gibier est à retenir. Clairement des sorties de 4 à 5 heures avec très peu de rencontre n'est pas la bonne solution avec les pointers.
-
A ce sujet, je reprends un ancien post : On peut utiliser un chien pour chasser et faire des concours... à condition de ne rien lui laisser passer. Généralement les chiens de concours ne font que des concours, et sont conditionnés pour cela : En gibier tiré les bases sont : a ) rapport forcé : 1. Sur apportable 2. Sur gibier congelé 3. Sur pigeon froid 4. Sur faisan b ) sagesse envol et feu : 1. arrêt sur pigeon ou perdreau 2. sagesse à l'envol sur boite d'escape ( généralement du pigeon... ) 3 . sagesse au feu sans tir des oiseaux 4 . sagesse au feu avec tir c ) enchainement sagesse envol et feu + rapport à l'ordre. Le chien doit venir directement par le chemin le plus court et s'asseoir, avec don du gibier à l'ordre. Soit on travaille la sagesse et dans ce cas c'est avec boite d'envol, soit on travaille la quête. La quête ne se travaille JAMAIS ni en déposant le gibier à pied , ni avec la boite d'envol, mais ou sur du naturel ou sur du gibier laché la veille, d'ou mes remarques concernant la totale inutilité d'aller poser le gibier 5 mn avant : on ne travaille rien. Les chiens doivent être conditionnés sur des entrainements d'une 1/2 heure, 20 mn maxi, aller à fond avec quête étendue et entreprise, ces chiens doivent avoir en plus une grande avidité et s'adaptater au terrain ( patron obligatoire en couple ), sans bouger au tir ( le tireur n'est jamais le conducteur ) Nous allons parfois à la chasse avec certains chiens destinés aux concours, mais les chiens ne sont jamais sortis plus d'une 1/2 heure, à la moindre incartade le chien est réprimandé et rentré. Il est clair que ce type d'entrainement est très contraignant, pratiquement incompatible avec la chasse au vol, ou le fauconnier ne peut pas être à disposition du chien et de l'oiseau. Il n'y a quasiment aucun amateur dans cette catégorie, "gibier tiré" généralement réservée presque exclusivement aux professionnels. Sur gibiers naturels les concours sont déjà plus abordables pour des amateurs, le style n'est pas vraiment jugé, les concours se passent en couple, il faut des chiens très entreprenants, qui patronnent avec sagesse envol et feu. Ce type de concours est déjà plus à la portée du fauconnier moyen, les amateurs peuvent se placer avec de très bons chiens. Sur gibiers naturels : Tirage au sort le matin. Lachâge des chiens ensemble et découplé obligatoire ! Si tu tombes sur une brelle à coté de toi tu es éliminé.... avis aux débutants qui veulent se faire des amis, ou à ceux qui y vont avec des chiens non préparés .... Très clairement et avec un seul chien que l'on utilise en plus à la chasse, je ne vois pas vraiment l'intérêt d'aller faire des fields... mais bon. En résumé, bien faire la différence entre les fields et les concours sur gibiers naturels, qui selon moi, sont des épreuves qui correspondent plus à une sélection de chiens de chasse. En montagne, c'est principalement ce que nous reprochons au pointer : courrir comme un dingue pendant 1 heure et ne plus rien foutre ensuite si il ne trouve rien. Il est clair que les pointers ont des capacités physiques nettement au-delà des setters, mais hélas les sélections en field en ont surtout fait de grands coureurs, quêteurs d'une effluve rapide, plus que des trouveurs qui amplifient leurs quêtes si il ne trouvent rien : ces chiens se découragent très vite et c'est le gros problème. Ces chiens donnent toute leur valeur en plaine sur des territoires riches, mais très peu de résultats sur des territoires difficiles et pauvres en gibier.
-
couvrir.... peut on le corriger?
etienne01 a répondu à un(e) sujet de nebli dans Comportements et affaitage
-
couvrir.... peut on le corriger?
etienne01 a répondu à un(e) sujet de nebli dans Comportements et affaitage
-
couvrir.... peut on le corriger?
etienne01 a répondu à un(e) sujet de nebli dans Comportements et affaitage
Ce n'est pas parce que c'est naturel que c'est bien pour le fauconnier ou pour l'oiseau ! Couvrir est un mécanisme de défense face à un danger. Si l'oiseau couvre, on ne peut pas dire que cela soit une réussite au niveau du conditionnement psychologique. Par ailleurs, couvrir engendre d'autres problèmes : casse des plumes dans un premier temps, puis généralement ensuite le charriage, abordé dans un autre sujet ( ça aussi, c'est naturel....) La méfiance engendre la défiance, la défiance la fuite, donc la perte de confiance, l'oiseau voit le fauconnier comme un prédateur, plus comme un auxiliaire... Ce n'est pas vraiment le but de la fauconnerie... -
Pas d'accord. Un dresseur est un professionnel, qui est payé pour gagner des points en concours, pas pour apprendre à un chien à chasser. 90 % du dressage est utile en concours. Les 3/4 des chiens mis trop tôt au dressage réduisent leurs quêtes et pensent plus au dresseur qu'au gibier. Je préfère laisser faire et si le cabot a de vraies qualités, le passer à un dresseur après 3 ans.