octave11

Non , non, tes photos sont parfaites Mike car c'est comme cela que l'on voit les poulettes en Expo. Grand merci

Je ne suis par certain que cela soit la bonne option car l'interdiction crée l'envie.... Le barrage ne fait que monter la pression....

C'est une réincarnation du Hollandais volant

Oui, oui, c'est parfait du moment que les poules valident. je crois qu'il n'y a pas de "gold standard" en la matère sinon l'arbitrage direct de nos gallines. Lorsque je laisse par exemple à mes poulettes le libre choix, les Pékins choisissent le perchoir classique dans le poulailler alors que mes Orpingtons naines largement plus musclées et sauvages choisissent pour la nuit de se percher... dans les chataigniers à 2,50m du sol ! Ainsi en ce moment, je récolte les chataignes au sol et les poules dans les arbres...

Vive la liberté ! Ce que pour ma part, j'apprécie le plus lorsque l'on permet ces sorties champêtres après un temps carcéral plus ou moins long, c'est le côté "Ouais , c'est l'heure de la récré", à savoir, la sortie en groupe du poulailler , version "petite horde sauvage" façon sortie d'école

Qui sont ces trois singes ? Des noms, des noms !!

Eh oui attention, si on veut comparer des données comparables à savoir faire un global poules de soie GR + N, il faudrait ajouter au décompte des Pékins, celui des Cochins....

Ben j'ai toujours entendu le contraire pour les déchets dévié, mais rond ou carré j'en ai jamais eu sur mes pékins. L'idéal semblerait être des perchoirs fait de lattes de 3 cm aux angulations arrondies à la lime ?

OUI, mille fois OUI !! Nos collègues d'outre Atlantique repètent souvent qu'une poule d'une race donnée, c'est avant toute une poule qui a la forme de la dite race ! Le reste est plus ou moins important mais passe après cette vérité première ! Bref, lorque l'on voit une poulette dysqualifiée pour un double crétillon microscopique, on râle mais on comprend mais quand à côté, un sujet "out of type" est validé alors là on ne comprend plus trop...

Non seulement c'est un défaut grave mais c'est aussi souvent en lien avec un niveau de consanguinité important. C'est donc un signal d'alerte à prendre en compte. A l'intersection des deux groupes de plumes de l'aile, les plumes apparaissent parfois même avec une structure anormale.

Jolie famille. Bravo au papa !

Se tuer ? A priori non, sauf accident. J'ai dans mes jeunes années, plusieurs fois tenté l'expérience. C'est parfois impressionnant surtout avec des Pékins blancs mais curieusement il n'y a jamais eu de lésion majeure comme par exemple un oeuil. Ceci dit, tout cela n'est que statistique mais visiblement en tout cas chez les Pékins, le but semble de renverser l'adversaire, de le taper, de le pincer à la crête ou aux barbillons (c'est là que ça saigne) mais pas vraiment de tuer. Je n'affirmerai pas que cela ne leur traverse pas l'esprit mais soit ce sont des jeunos et il n'ont pas encore d'ergot, soit ce sont de vieux briscards et chez les pékins, les ergots sont souvent recourbés vers l'intérieur donc innefficaces lors du lancement des pattes vers l'adversaire. En fait comme tu l'as observé, les lésions les plus importantes se font via les grillages. Au final, j'avoue ne plus trop tenter ces rappochements car je n'en ai pas réellement l'utilité. A l'inverse, je laisse tous les ans les "ados", coquelets et poulettes gambader de concert sur des parcours où dans le même temps se trouvent un adulte Pékin et son harem (un groupe d'adulte à la fois). Les adultes sont clairement perçus comme des "boss" voire des protecteurs et tout se passe bien même si les adultes se font respecter via des coups de becs de principe.

Pourrais-tu préciser quels sont les différentes phases de contacts intermédiaires? Oh rien de compliqué qui ne soit du bon sens. C'est un peu le même objectif qu'entre le Petit Prince et le renard de St Exupéry...version galline. En gros, ils faut que les deux coq apprennent à se connaitre pour in fine qu'un équilibre dominant/dominé s'instaure. Phase 1 : les faire se voir avec grillage protecteur : a tenter car parfois efficace mais souvent inefficace car les deux propositus n'arrêtent pas de se battre au travers du grillage... Phase 2 : les mettre en contact sur terrain ouvert, de manière que le plus faible puisse après une phase de combat plus ou moins longue, se sauver à quelques distance. Au début cela peut être un peu "hard" surtout pour un éleveur (se) au coeur tendre mais c'est la condition sine qua non de l'établissement de l'échelle de valeur base du compromis social secondaire. Pour le Pékin, cela se limite le plus souvent à des petit blessures de crête ou de barbillons sans gravité. A ne par contre pas trop tenter avec des sujets appelés à concourir en expo. car il peut tout de même y avoir des cicatrices rédibitoires pour un juge.

Possible selon le tempérament des intéressés et surtout le passage par une case préalable de "stabilisation du rapport hiérarchique". L'hiver est une période de moindre activité "reproductive" donc de meilleure tolérance entre mâles mais ce n'est tout de même pas à l'identique de ce que l'on observe chez les coqs sauvages (reg jungle fowls) où en basse saison, il y a disparition de la livrée nuptiale (leur plumage d'hiver est un plumage "de poule" façon sebright). Bref, prévoie au préalable une phase de contact intermédiaire avec montée en charge progressive.

Pas la peine de les embaler, c'est pour consommer tout de suite. Les poussins, c'est comme les huitres ou les olives, on commence par un et puis on finit l'éleveuse !

NON NON NON même pas vrai, lol Où sont les fauves, petit cachotier ?

C'est TOP; Bon matériel = bon départ = réussite à l'arrivée !

Et le coquin nous cache sans doute les plus belles...

Eh ! attention sur la photos 2, j'en vois une qui chaparde ! Ceci dit super cheptel. Ah comme je voudrais aussi avoir autour de moi tous les animaux du monde... Animaux heureux = éleveur heureux

Allons bon, hier jeudi 22.09, les documents d'inscription pour Poitiers paraissent téléchargeables et Plouf dès le lendemain plus rien... Problème technique ?

Bon sans vouloir faire "Bio" à tout prix, j'avoue pour ma part essayer à chaque fois que cela est possible d'éviter de jouer au "petit chimiste". Bref, je pense que l'idée de départ d'utiliser une 'huile dure" comme l'huile de lin associée 60/40 à un siccatif type "essence de térébentine" qui est tout de même plus proche du naturel que du tout chimique est une première bonne option. J'utilise pour ma part à la place de l'essence de thérébentine de l'essence de lavandin que j'achète en demi-gros L'huile de Lin penètre dans les cellules du bois et durcit au contact de l'air. C'est efficace, esthétique, non toxique pour l'éleveur et ses pouletes mais en pratique à renouveller tous les ans. Une autre option (ancienne) consiste à utiliser du "silicate de soude" dont l'action via pénétation dans les couches superficielles du bois est de le "pétrifier" en surface ou plus exactement de le vitrifier. Les xylophace s'y cassent les dents. C'est encore plus efficace que l'huile de l'in mais il faut utiliser gants et lunettes lors de l'application car la solution est très alcaline (basique). Par contre une fois sec, c'est sans danger. la solution d'une lasure bio est aussi intéressante notamment en intérieur car cela permet le choix de la couleur blanche pour faciliter le répérage des poux rouges. Bon courage !

Juste un petit détail pour les débutants, les poule acceptent les perchoirs cylindiques type "manche à balai" mais préfèrent en fait les perchoirs plans à angles arrondis (liteaux à arêtes limées)

En fait avec des pékin,s dans les premiers jous, a fortiri si les poussins sontmis le soir, les poules ne sont pas trop regardantes. Par contre au delà d'une semaine, cela devient risqué car la poule reconnait généralement très bien ses poussins à partir de ce moment là et autant elle est maternelle avec les siens autant elle est parfois intolérante avec ceux des autres.

Le bidon ne s'est il pas vidé du fait d'une pénétration d'air dans le réservoir par un trou aussi infime soit il ?

As tu l'expérience du savon noir dilué ? C'est très bien sur les pucerons côté jardin mais aussi très bien côté poulailler pour les acariens surtout que dans ce dernier cas, on peut forcer la dose de savon noir et ainsi améliorer l'efficacité : action antiseptique de tout savon complété d"une action "huileuse" d'obstruction des canaux respiratoires des poux. Et en plus ça sent le propre sans toxicité !