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Tout ce qui a été posté par askook

  1. Une araignée mutante inquiète les Etats-Unis Une enquête a été ouverte par des scientifiques américains après qu'une étrange toile d'araignée a été découverte au beau mileu de déchets nucléaires. Pour ces chercheurs, la crainte principale est celle d'une araignée mutante qui se serait transformée à la suite de son exposition à l'uranium. Un scénario très similaire à celui de la bande dessinée Spider-Man. Cette découverte inquiétante a été faite le mois dernier sur le site de Savannah River en Caroline du Sud, dans une usine de traitements de déchets nucléaires. Une étrange toile blanche a été aperçue par les employés, inquiets. Il s'agissait, en effet, d'une matière encore jamais vue auparavant. Des experts du Savannah River National Laboratory ont immédiatement ouvert une enquête sur ce drôle de phénomène. Les scientifiques ont recueilli un petit échantillon et l'ont étudié. Et le résultat les a ébahis. Selon le rapport déposé par le Bureau fédéral de la sécurité des centrales nucléaires, il pourrait s'agir d'une véritable toile d'araignée. Pour ces scientifiques, la crainte de voir une araignée mutante transformée par les radiations est donc une possibilité à envisager. "Comme nous le savons la vie évolue dans des endroits inhabituels", explique Osman Kemal Kadirolu, un ancien professeur de génie nucléaire à l'Université d'Istanbul. "Bien que je suis sûr que l'on n'aura pas des monstres comme ceux que l'on peut voir dans les films d'horreur japonais". Source:http://www.7sur7.be
  2. Un lézard survit des milliers de km en soute et à un lave-linge Un petit lézard du Cap Vert a survécu à 6 heures de froid glacial dans une soute d'avion, puis à 30 minutes de lavage dans un lave-linge. On lui a donné un petit nom : Larry. On pense qu'il s'est glissé en passager clandestin dans la valise d'une touriste alors qu'elle retournait chez elle, dans le Somerset, après deux semaines sur la côte Ouest de l'Afrique. Elle a lavé ses affaires en arrivant et a retrouvé le corps inanimé du lézard. Après une séance de réanimation digne de "Mary à tout prix", l'animal est revenu depuis l'autre rive du Styx. Il fait quinze cm. La dame l'a confié à un zoo. Source:http://www.sur-la-toile.com
  3. Un python terrassé par un homme Libreville (Gabon), 9 février 2012 (Infos Gabon) – Un homme d’une cinquantaine d’années révolues, plus connu sous le nom de Moudjambo dans le village Ferra, à 12 km de Ndendé, rapporte le quotidien « Gabon Matin », aurait terrassé un python de près de 4 mètres, au terme d’une lutte acharnée. A Ferra, ce genre d’histoire n’intrigue plus personne, tant les habitants de ce regroupement de villages du canton nord du département de la Dola, où vivent près de 109 âmes, sont habitués à écouter et vivre ces faits insolites. D’après une source, les faits remontent en septembre dernier, lorsque Moudjambo, un passionné de la pêche, reconnu dans la localité, se rend le 23 du même mois en matinée au marigot pour tremper son trémail. Bien sûr, tous les pêcheurs connaissent les dangers dans les étangs et marigots réputés poissonneux, surtout qu’en cette période de saison sèche, hommes et femmes remplissent souvent des paniers de poissons divers destinés à la fois à la vente et à l’alimentation familiale. Sur les lieux de la pêche, à un endroit où il s’était frayé le passage paré des branchages au bord, un sixième sens l’invite à relever la tête pour surveiller l’environnement, car généralement, si ce ne sont des serpents, vous avez des fortes chances de croiser un guêpier, un essaim d’abeilles,ou des animaux féroces au repos. A une certaine hauteur se trouvait un python enlacé sur une grosse branche, attiré par le clapotis des poissons qui remontaient à la surface respirer un bol d’air ou happer les petites proies. Une rencontre soudaine transformée en ’’chance’’ pour Moudjambo. Courageux, il met son couteau en poche et se met à grimper sur l’arbre pour affronter ce redoutable reptile. « Mais avec les malices qui sont les siennes, il a repéré la tête du serpent et lui a mis de grosses entailles le long du ventre », a expliqué la source, relatant les faits vécus par le pêcheur. De même, sous l’effet de la douleur, le serpent ne s’est pas laissé faire et, avec une telle vélocité, a enroulé le corps de son ennemi, avant de se retrouver tous au sol, sans lâcher prise. Du coup, Moudjambo s’est retrouvé avec un bras dans la gueule du python âprement mordu. L’humain a continué le fendillement du ventre puis l’a anéanti. Une aubaine en attendant le produit du trémail. Au village, il semble que Moudjambo aurait pour habitude de suivre tout serpent sur ses traces. Et au cours de ce même mois de septembre, il avait tué cinq pythons et non des moindres, selon toujours la source. D’ailleurs, les mauvaises langues disent qu’il utilise des fétiches pour affronter les pythons. « Lui-même parle d’un simple courage d’homme », conclut la source. Source:http://infosgabon.com/?p=159
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    Trafic

    123 kg de tortue dans un pick-up à Tahiti Deux hommes et une femme sont attendus aujourd'hui au palais de justice en vue d'une comparution immédiate. À l'origine de l'affaire, deux pêcheurs âgés de 42 et 46 ans partent en bateau vers Tetiaroa dimanche vers 7 heures. De retour vers 19 h 30, ils mouillent au quai des pêcheurs du motu de Arue. L'un des deux hommes appelle alors sa compagne pour qu'elle vienne les récupérer directement sur le quai. Celle-ci arrive en pick-up et les deux hommes chargent leur pêche dans la benne du véhicule, bien à l'abri des regards. Mais à la sortie du motu de Arue, au niveau du stade Boris-Léontieff, le pick-up est arrêté par la douane. Son “chargement” : 123 kilos de viande de tortue… l'équivalent de deux animaux. Les douaniers, en collaboration avec la gendarmerie, “attendaient” leurs clients après avoir obtenu des informations sur leurs agissements. Le véhicule a été saisi, ainsi que le bateau des pêcheurs. Et hier soir les deux hommes dormaient à Nuutania. Source:http://www.lesnouvelles.pf/article/les-indiscrets/123-kg-de-tortue-dans-un-pick-up
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    Iguana iguana

    Porto Rico veut se débarrasser de ses iguanes Afin de mettre un terme à l’invasion des iguanes sur l’île, les autorités portoricaines envisagent de les abattre et de revendre leur viande aux Etats-Unis. Si la plupart des iguanes sont menacés en Amérique Latine, ils proliférent à Porto Rico. A tel point que leur population, de l’ordre de quatre millions d’individus, dépasse même celle des êtres humains ! Une situation qui ne devrait toutefois plus durer bien longtemps au vu des projets des pouvoirs publics… « C’est un grand problème, auquel nous devons nous attaquer », a ainsi déclaré vendredi dernier Daniel Galan Kercado, secrétaire au Département des Ressources Naturelles, en évoquant l’invasion des reptiles. Car ce qui constitue une attraction pour les touristes est le plus souvent perçu comme une contrainte par les résidents de l’île, quand bien même ce sont les Portoricains qui ont introduit les iguanes dans le pays. Alors qu’il existe depuis toujours une espèce endémique à l’Isla Mona, l’invasion des iguanes sur l’île principale de Porto-Rico a en effet commencé dans les années 1970, lorsque des particuliers ayant pris ces lézards exotiques comme animaux domestiques les ont ensuite relâchés dans la nature après qu’ils soient devenus trop gros. Car un iguane est loin d’être un petit lézard et peut mesurer jusqu’à 1m80… Aujourd’hui, donc, les iguanes de Porto Rico sont accusés pêle-mêle de détruire les fondations en se terrant sous les immeubles, de provoquer des coupures d’électricité en faisant leurs nids près des centrales ou encore d’envahir les aéroports. Il y a quelques années, ils étaient du reste tellement nombreux à prendre des bains de soleil sur les pistes que certains pilotes ont dû se résoudre à dérouter leur appareil… Actuellement, près de 60 000 euros sont dépensés chaque année pour chasser les iguanes dans le seul aéroport international de Luis Munoz Marin, à San Juan. « Ils nous coûtent cher, très cher », constate Daniel Galan Kercado. Source:http://www.zegreenweb.com/
  6. La viande d'une tortue tue quatre personnes La viande d'une tortue de 60 kilogrammes, appartenant à une espèce menacée, a tué quatre personnes. Par ailleurs, 25 autres victimes ont été hospitalisées. Lorsque l'infraction à la loi tue. Dans le courant de la semaine, quatre per­sonnes sont mortes, empoisonnées par la viande d'une tortue de mer à Vohé­mar. Ayant eu plus de chance, 25 autres victimes ont échappé au pire. Admises dans un centre hospitalier, elles ont tant bien que mal récupéré, après avoir été placées sous soins intensifs. Pesant près de 60 kilogrammes, le reptile à l'origine de ce drame, appartient à une espèce menacée. « Les tortues de mer sont protégées. Ne serait-ce que de les toucher, est interdit », met en évidence le chef de district de Vohémar, Eddie Tongatsara. Selon ses explications, des algues hautement toxiques, abondent dans les fonds marins en cette période de l'année. Immunisés, plusieurs variétés de poissons et de tortues survivent, bien que ces végétaux constituent l'essentiel de leur nourriture en cette saison. En consommer provoque néanmoins de graves intoxications, chez l'homme. La toxine virulente, toujours présente dans leur organisme, s'attaque directement au système nerveux humain. Interdiction Cette intoxication massive a commencé à sévir dans la ville de Vohémar depuis lundi, lorsqu'un pêcheur a remonté de la mer, la tortue géante. Selon les informations recueillies sur place, il l'a, d'emblée, ramenée chez lui. Après en avoir cuisiné pour le repas, sa femme a vendu le reste au marché. L'empoisonnement a d'abord frappé le foyer du pêcheur. son chat et son chien étaient les premiers à trépasser après avoir mangé la viande impropre à la consommation. Faute de soins suffisants, il a lui-même été happé par la mort le lendemain. C'est seulement après, que les personnes ayant acheté de cette viande, en ont fait les frais. Mercredi, une femme et un bébé de cinq mois ont succombé. Et jeudi soir, une deuxième femme a, à son tour, rendu l'âme. Ayant rejoint l'hôpital dès la manifestation des premiers symptômes , les 25 autres victimes sont pour leur part, hors de danger et ont pu regagner leurs foyers respectifs. «Un arrêté régional, sorti en octobre 2011, interdit le transport, la vente et la conservation de certaines variétés de produits halieutiques, tels que la sardine et la sardinelle, du 1er novembre 2011 au 30 avril 2012, du fait qu'elles se nourrissent de ces algues toxiques. Une campagne de sensibilisation a été effectuée. Après ce drame, une relance a été effectuée », indique le chef de district de Vohémar. Pour prévenir un pareil incident, il incite la population à éviscérer et à couper la tête des poissons susceptibles d'être dangereux. Source: http://www.lexpressmada.com/vohemar-madagascar/31628-la-viande-d-une-tortue-tue-quatre-personnes.html
  7. Remote copulation: male adaptation to female cannibalism Biol. lett. February 1, 2012, doi: 10.1098/rsbl.2011.1202 D. Li, J. Oh, S. Kralj-Fiser & M. Kuntner http://rsbl.royalsocietypublishing.org/content/early/2012/01/27/rsbl.2011.1202.full.pdf+html
  8. Une araignée qui recourt à l'autoémasculation pour survivre Chez certaines espèces, la « guerre des sexes » n'est pas une métaphore. Une araignée mâle nommée Nephilengys malabarensis a « trouvé » une solution évolutive pour survivre à l' acte d'amour. Cela n'a malheureusement pas sauvé celle sur la photographie toutefois : elle s'en est allée « Ad patres », dégustée quand même par sa compagne comme vous pouvez l'imaginer sur la photographie (mâle à gauche, femelle à droite). C'est que dans certaines espèces, les araignées femelles ont pris la fâcheuse manie de cannibaliser les mâles. Des chercheurs de l'université de Singapour ont étudié deux familles d'araignée qui on pour particularité, pour les mâles, de se séparer de son « précieux » (encadré de rouge sur la photo) durant l'acte, alors que ce dernier continue à inséminer la femelle. Cette ruse pratique permet littéralement au mâle de fertiliser sa compagne à distance, tout en empêchant, l'entrée étant prise, aux autres mâles de pénétrer sa "belle". L'araignée mâle de cette espèce n'est pas un lézard : sa « queue » ne repousse malheureusement pas... La pauvre bête est donc rendue stérile, mais cela accroît néanmoins les chances qu'il devienne papa, ne fut-ce qu'à titre posthume. Dans cette espèce en particulier, les femelles sont très agressives. 75 % d'entre elles arrivent à dévorer le mâle durant la partie de 16 jambes en l'air. Si encore le mâle en profitait un peu, mais même pas ! La copulation est rendue très courte par les femelles qui arrêtent l'acte pour passer plus rapidement au dessert. L'équipe de chercheurs a disséqué les araignées et on a constaté qu'environ un tiers du sperme avait inséminé la femelle avant que cette dernière « éjecte » l'encombrant mâle. Le sexe qui a été coupé de son possesseur continue ensuite, de manière autonome, à éjaculer, avec une vitesse accrue en outre. La sélection ferait donc que certaines espèces tentent de prolonger l'acte contre la volonté des femelles et voudrait surtout que d'autres mâles ne puissent s'accoupler. Notons que les eunuques qui survivent deviennent ensuite des « guerriers » se battant contre les autres mâles afin qu'ils n'approchent pas leur conquête d'un soir (d'un seul, et pour cause !). Les chercheurs tentent de voir si les femelles ont, elles, une contre-adaptation à ce comportement extrême. Tente-t-elle, par exemple, de retirer le membre des mâles dont elle n'est pas amoureuse ? On va aussi réaliser des statistiques sur la taille des populations, du taux réel et moyen de décès des mâles. On veut établir un ratio entre les avantages et les inconvénients (« coûts ») de cette stratégie. Si le ratio s'avère désavantageux, il sera alors temps de leur dispenser un cours d'éducation sexuelle... NDLR: La métaphore de la « queue » peut-être trompeuse, il faut savoir que les araignées n'ont pas de pénis, elles stockent le sperme dans des bulbes situés sur les pédipalpes, près de la bouche. Source:http://www.sur-la-toile.com/article-13927-Une-araignee-qui-recourt-a-l-autoemasculation-pour-survivre.html Article: http://rsbl.royalsocietypublishing.org/content/early/2012/01/27/rsbl.2011.1202.full.pdf+html
  9. La résistance des toiles d'araignées ne tient pas qu'à leurs fils La résistance des toiles d'araignées ne tient pas seulement à celle de leurs fils de soie : en cas de choc, leur architecture permet d'en sacrifier une zone limitée pour préserver l'essentiel, une conception dont pourraient s'inspirer des ingénieurs, selon une étude publiée mercredi. "Cela permet à l'araignée de réparer plutôt que de reconstruire complètement", soulignent les chercheurs dans la revue scientifique britannique Nature. Car construire une toile demande une énergie que l'araignée ne peut se permettre d'y consacrer souvent. La force et la résistance de la soie avaient déjà été vantées, mais ses autres avantages au sein d'une toile d'araignée "restaient inconnus", relève Markus Buehler (Massachussets Institute of Technology, Etats-Unis) qui a dirigé ces recherches. Associant observations sur le terrain et simulations sur ordinateur, son équipe a analysé la structure de la toile d'araignée et sa réaction à différents stress, comme la chute d'une brindille ou une tempête. Par rapport à leur poids, les fils d'araignées "sont plus solides que l'acier et plus résistants que le Kevlar", rappelle le Pr Buehler dans un communiqué du MIT. Les toiles d'araignées que l'on trouve dans les jardins et les garages sont faites de plusieurs types de soie, dont deux sont importants pour l'intégrité de cette construction : les fils visqueux et élastiques qui spiralent du centre vers l'extérieur de la toile et servent à capturer la proie, et les câbles en soie dure et sèche qui rayonnent depuis le coeur de la toile. La soie de ces câbles, dotée d'une structure moléculaire qui lui confère à la fois solidité et flexibilité, joue un rôle crucial dans les propriétés mécaniques de l'ensemble de la toile. En cas de perturbation importante, toute la toile réagit. Mais l'impact est atténué différemment par chaque type de fil. Lorsqu'un câble radial est touché, la toile se déforme davantage que lorsqu'il s'agit d'un fil de la spirale. Quel que soit le type de fil qui rompt, victime d'un grand stress mécanique, c'est le seul fil qui rompt, le reste de la toile est préservé, selon les chercheurs. La nature des protéines de la soie renforce cet effet, en alternant phases où elle joue de son élasticité, durcit et absorbe le choc, avant que les frottements entraînent la rupture. Dès que le fil est rompu, la toile retrouve sa stabilité, même lors de simulations impliquant des vents de la force d'un ouragan. Les chercheurs suggèrent aux ingénieurs de s'inspirer de ce qui fait la résistance des toiles d'araignées, afin de limiter les dégâts en cas de contraintes extrêmes. Les innovations de la nature ont déjà servi de modèle pour créer des fermetures Velcro imitant la fleur de Bardane ou des adhésifs puissants en s'inspirant des pattes du Gecko. Source: http://www.20minutes.fr Article: http://www.nature.com/nature/journal/v482/n7383/full/nature10739.html
  10. askook

    Spécimens piebald

    Pituophis melanoleucus lodingi Photos pour illustration. Source: http://peponi.exblog.jp
  11. askook

    Chelonia mydas

    Philippines : une ponte record des tortues vertes en 2011 Des estimations établies par Conservation International révèlent un record de ponte des tortues vertes sur l’île Baguan située dans le sud des Philippines. 2011 peut être considérée comme l’année du babyboom des tortues vertes. L’organisation Conservation international a en effet enregistré une proportion record du nombre de nids sur l’île Baguan, au sud des Philippines. Pour les experts, le taux de nidification n’a jamais été aussi élevé depuis la mise en place d’un programme de conservation, spécifique à la zone, en 1984. Près de 14.220 nids ont été répertoriés totalisant près d’1,44 millions d’œufs. "C’est un nombre impressionnant et il présente un grand espoir pour stimuler la croissance des populations de tortues vertes", indique à LiveScience Romeo Trono, directeur exécutif du département philippin de l’organisation. Avec 90% de succès d'éclosion et un taux de survie égal à 1% jusqu'à la maturité sexuelle, la vaste ponte aboutira finalement à 13.000 individus adultes. Baguan est l'une des neuf îles constituant l’espace dûment protégé destiné aux efforts de conservation des populations de tortues. Ce patrimoine, géré conjointement par la Malaisie et les Philippines, a connu des hauts et des bas depuis sa mise en place. Les données sur le taux de ponte indiquent un premier sommet en 1995 avec 12.311 nids répertoriés à Baguan, suivi d’une véritable chute jusqu’à 4.000 nids en 2003. De plus en plus d'efforts de protection Selon les experts, la faible application de la loi en vigueur aurait laissé les pratiques de braconnage et de pêche illégale décimer les populations protégées. Depuis peu, les efforts de protections se sont multipliés grâce à la mise en place d’équipes professionnelles de surveillances formées par l’organisation. La conservation des tortues vertes au sein de l’espace protégé intègre une initiative plus vaste concernant la protection du Triangle du corail, une zone de l’océan Pacifique réputée pour sa spectaculaire biodiversité. Mais la disparition des populations de tortues marines pourrait avoir de graves conséquences sur l’ensemble de l’écosystème de la région, d'après les spécialistes. Source:http://www.maxisciences.com/
  12. askook

    Viridis et maintenance!

    Je n'avais jamais fait l'acquisition d'un viridis en raison de tout ce que j'avais pu lire au niveau de sa maintenance et surtout sur le fameux taux d'hygrométrie. Mais depuis un an, je regrette de ne pas avoir élevé du "viridis" bien avant. Si tu te bases sur un élevage classique et sans se prendre la tête et bien cela roule tout seul... La notre n'a jamais apprécié son spot, comme elle est installée dans un exo-terra, nous supposons que la lumière du jour lui suffit. Pour les U.V, comme elle s'installait systématiquement à l'opposé, on a fini par lui retiré... Pour la nourriture, c'est une vraie goinfre. Rats ou souris, gros ou petit tout y passe... Ce qui est agréable, c'est de la voir bouger le soir. Elle ocuupe vraiment tout le terrarium. Et oui, ce n'est pas un serpent qui reste toute sa vie enroulé à un bout de tuyau... Voici ce que j'ai à rajouter à tout ce qui a été déjà dit...
  13. askook

    Atheris matildae

    Une nouvelle espèce de vipère découverte en Tanzanie Le monde animal s’est agrandi avec la découverte d’une nouvelle espèce de vipères. Ce reptile qui vit en Tanzanie vient ainsi enrichir la biodiversité de ce pays. Des recherches de nouvelles espèces animales avaient été lancées par la Wildlife Conservation Society, un organisme qui s’active à découvrir de nouvelles espèces demeurées dans l’anonymat le plus absolu sur la planète. Persuadés qu’une grande diversité d’êtres vivants reste encore à découvrir dans le monde, les chercheurs de cet organisme se lancent chaque année dans les forêts des quatre coins de la terre afin d’effectuer des recherches. Ces chercheurs ont ainsi passé de longues heures à faire de minutieuses inspections dans les forêts tanzaniennes jusqu’à aboutir à cette découverte. Cette vipère tanzanienne est unique en son genre mais risque de très vite disparaître si rien n’est fait. Caractéristiques de la vipère tanzanienne La nouvelle vipère tanzanienne possède des écailles au-dessus des yeux qui font penser à des cornes. D’ailleurs, on désigne même ce reptile comme la vipère à cornes. Mathilda est le nom qui a été donné à ce serpent en honneur au prénom de la fille de Tim Davenport, le chef des chercheurs de la Wildlife Conservation Society ayant conduit les recherches. Scientifiquement, l’espèce a été baptisée Atheris matildae. Les couleurs dominantes de la vipère sont le jaune et le noir. Sur la peau de Mathilda, ses couleurs se dévoilent sous forme de rayures en zigzag, ce qui lui confère un charme certain. Les personnes qui aiment les reptiles et qui ont vu la vipère de Tanzanie la considèrent comme l’une des plus belles parmi les vipères existantes. Elles affirment par ailleurs que la beauté de Mathilda est accentuée par ses yeux d’olive. La vipère a été mesurée et fait 60 cm environ. Les chercheurs, qui ont pu capturer plusieurs spécimens, s’inquiètent pour la survie de cette espèce animale. La vipère de Tanzanie, une nouvelle espèce menacée d’extinction Depuis la découverte de Mathilda, les chercheurs sont très inquiets en ce qui concerne la survie de cette dernière. La première raison est relative à son habitat naturel. Les biologistes ont en effet trouvé que son habitat était fortement dégradé en plus d’être restreint. La superficie de cet habitat est estimée à moins de 100 kilomètres carrés de superficie, une situation qui ne serait pas idéale pour la bonne reproduction de la vipère. La dégradation de l’habitat de l’animal est quant à elle causée par la déforestation et le commerce de bois qui sont répandus dans cette région du monde. L’autre raison qui fait naître de l’inquiétude chez les chercheurs pour la survie du serpent est la montée en puissance du commerce des espèces sauvages. Aujourd’hui, ce commerce est en nette évolution dans le monde et concerne principalement les reptiles et les amphibiens. Aussi, la découverte de Mathilda pourrait exciter les acteurs du trafic des animaux qui feront tout pour capturer les rares spécimens de reptiles. L’amère expérience a été déjà faite au sujet d’autres reptiles qui ont été décimés quelques temps après leur découverte. Ainsi, en conjuguant l’habitat naturel dégradé de Mathilda et l’activité des trafiquants d’animaux, l’Union Nationale de la Conservation de la Nature n’est pas loin d’inscrire le nom de cette vipère sur sa liste rouge des espèces hautement menacées d’extinction. Les dispositions prises pour sauver l’espèce Les biologistes et les défenseurs de la biodiversité ont décidé de faire le maximum pour protéger Mathilda. Il a donc été décidé de garder secret l’endroit exact de Tanzanie où la vipère a été découverte. Cette mesure vise à ne pas attirer les vendeurs d’animaux en ce lieu. Cette décision a suscité un débat dans la mesure où les défenseurs de la biodiversité pensent qu’il n’est pas nécessaire que les chercheurs exposent sur la place publique les découvertes animales. Certains trouvent que cela revient à livrer ces espèces à la mort puisqu’elles sont aussitôt traquées par les trafiquants dès qu’on annonce leur existence. D’autres soutiennent néanmoins que l’humanité a le droit de tout savoir sur les espèces découvertes et que les chercheurs n’ont pas le droit de garder des secrets. Par ailleurs, vue la forte dégradation de l’univers naturel de Mathilda, un plan d’urgence a été étudié et mis en place pour sauvegarder son espèce. Il s’agit de repenser son état naturel à travers un programme de reproduction en captivité. C’est avec 4 mâles, 5 femelles, 11 serpents et 2 jeunes serpents que la lignée de Mathilda sera préservée. Source: http://www.ecologie.tv/biodiversite/une-nouvelle-espece-de-vipere-3653.html
  14. En français: La vision de la profondeur chez l'araignée sauteuse Comment une petite araignée parvient-elle à sauter sur sa proie avec une grande précision? En comparant deux images, expliquent des chercheurs, une nette et ... une floue! l ne suffit pas à l’araignée sauteuse de posséder autant d’yeux que de pattes –huit- pour régler son saut et atteindre avec précision sa proie. Une nouvelle étude sur la vision de la profondeur chez ces petites araignées de quelques millimètres aboutit à une étonnante conclusion : c’est en superposant sur sa rétine une image nette et une image floue que l’arachnide salticide évalue correctement la distance ! Quatre couches pour la rétine Contrairement à beaucoup d’animaux, ces araignées n’ont pas la vision binoculaire et même si elles ont des paires d’yeux qui détectent bien le mouvement, elles n’utilisent pas la parallaxe pour évaluer les distances (la parallaxe est une perception de la profondeur liée au déplacement de l’observateur : ainsi les objets les plus éloignés semblent se déplacer moins vite dans le champ de vision que les objets les plus proches). De précédentes études sur la vision des araignées sauteuses ont révélé que la rétine de leurs deux plus gros yeux est composée de quatre couches de cellules photoréceptrices (contre une seule chez nous). Les couches les plus profondes sont sensibles à la lumière verte, tandis que les deux autres sont principalement sensibles à la lumière rouge. Ce qui signifie que lorsqu’une image est nette sur deux des couches de la rétine, elle est floue sur les autres ! Plus précise en lumière verte Pour comprendre à quoi peut bien servir un tel système, l’équipe de Mitsumasa Koyanagi et Akihisa Terakita, de l’Université d’Osaka (Japon), ont soumis des araignées sauteuses Hasarius adansoni à différents tests, après avoir masqué tous les yeux à l’exception des deux plus gros situés devant. Ils ont comparé leurs sauts sur des proies (des mouches drosophiles) sous lumière verte et sous lumière rouge. Dans le premier cas, la précision était excellente, dans le second cas les sauts étaient généralement trop courts, la distance étant donc sous-estimée.
  15. L'ancêtre des crocodiles d'Afrique découvert au Maroc Un énorme reptile préhistorique long de près de 10 mètres, dont un crâne fossilisé a été découvert au Maroc, est l'ancêtre des crocodiles vivant aujourd'hui en Afrique, selon des travaux de chercheurs américains publiés mardi. Cette créature, baptisée «Shieldcroc» (crocodile blindé) en raison de l'épaisse couche de peau recouvrant le dessus de sa tête, a été mise au jour par Casey Holliday, de l'Université du Missouri, alors qu'il étudiait ce crâne fossilisé d'un spécimen datant d'environ 95 millions d'années. Ce crâne, qui n'est pas entier, se trouvait au Musée Royal d'Ontario depuis plusieurs années avant que le professeur Holliday n'entreprenne de l'étudier. «Cette découverte d'Aegisuchus witmeri ou Shieldcroc, avec d'autres faites auparavant, montre que les ancêtres des crocodiles d'aujourd'hui étaient beaucoup plus diversifiés que ne le pensaient les scientifiques», souligne le professeur Holliday. Il a pu estimer sa taille et celle de son cerveau en analysant les marques laissées sur l'intérieur de la boîte crânienne. Le crocodile avait une tête longue de 1,52 m, pour une taille totale de 9,14 m. Cette découverte fournit un meilleur éclairage de l'évolution des crocodiles. Cela pourrait aider à trouver de meilleurs moyens de protéger leur environnement et empêcher leur extinction, expliquent les auteurs de cette communication parue dans la revue scientifique américaine Journal PLoS-ONE (Public Library of Science). Shieldcroc est également le dernier spécimen d'espèces de crocodiles mis au jour qui vivaient à la fin du crétacé, il y a environ 95 millions d'années. Cette période fait partie de l'ère mésozoïque (-245 à -65 millions d'années) aussi appelée «l'Âge des dinosaures», disparus il y a 65 millions d'années. L'analyse des empreintes laissées sur le crâne par les vaisseaux sanguins a permis aux chercheurs de déterminer que le crocodile était doté d'une sorte de bouclier sur le dessus de la tête, du jamais vu chez ces animaux. Selon le professeur Holliday, cette protubérance visait probablement à attirer les femelles et à impressionner les ennemis de «Shieldcroc». Il pouvait peut-être aussi servir de régulateur thermique pour contrôler la température dans la tête de l'animal. Vu ces caractéristiques physiques, les chercheurs jugent improbable que le crocodile «Shieldcroc» ait combattu des dinosaures en bord de mer. Il devait plutôt passer beaucoup de temps dans l'eau en utilisant ses longues et fines mâchoires pour attraper des poissons. Ce crocodile préhistorique attendait peut-être patiemment dans l'eau que des poissons passent à sa portée. Quand les proies étaient suffisamment proches, Shieldcroc ouvrait simplement la gueule et dévorait sa victime sans effort, éliminant ainsi le besoin de forte mâchoire. Source:http://www.cyberpresse.ca/ Article: http://www.plosone.org/article/info%3Adoi%2F10.1371%2Fjournal.pone.0030471
  16. askook

    Paedophryne amauensis

    La plus petite espèce de grenouille découverte en Papouasie Nouvelle-Guinée Les êtres vivants sont divers sur la planète et un grand nombre d’entre eux reste encore à découvrir. Ainsi, pour étaler toute l’étendue de la biodiversité, les chercheurs ne cessent de faire des investigations afin de dénicher les espèces animales les plus cachées. Dernièrement, un groupe de scientifiques de l’Université Louisiana State de Baton rouge s’est rendu en Papouasie Nouvelle-Guinée, une terre célèbre pour sa richesse en biodiversité. Ils y sont allés dans l’espoir de découvrir des êtres vivants encore méconnus des hommes. Conduite par un herpétologiste du nom de Christophe Austin, le groupe a atterri à 177 m d’altitude dans la région de Amau, en Papouasie Nouvelle Guinée. Après des recherches méticuleuses, ces chercheurs américains ont découvert un amphibien pas comme les autres, une grenouille à la taille extrêmement petite, et jamais dans le monde une espèce animale ne fut aussi microscopique. Description de Paedophryne amauensis, la plus petite grenouille du monde Dans le livre des records Guinness figure désormais le nom de Paedophryne amauensis qui est celui de la plus petite grenouille et du plus petit être vivant au monde. La grenouille originaire de Papouasie Nouvelle Guinée ne fait que 7,7 millimètres de long, en partant du nez à la queue, et a été baptisée Paedophryne amauensis en rappel au village d’Amau dans lequel elle a été trouvée. Si cette découverte n’intervient que maintenant, c’est parce que cette grenouille passait son temps à se cacher dans la forêt tropicale. D’ailleurs, les chercheurs qui l’ont capturée ont dû s’armer de courage et de patience. En effet, sa petite taille causait d’énormes difficultés à la bonne conduite de cette capture. C’est après plusieurs jours de tentatives infructueuses qu’ils ont pu finalement l’attraper. Ils sont même revenus avec des spécimens qui étaient tous des mâles. Mais après des observations de l’habitat de la grenouille et d’autres analyses scientifiques, les chercheurs sont persuadés de l’existence des femelles et pensent même qu’elles auraient une taille plus grande que celle de ces mâles. La peau de la Paedophryne amauensis est différente de celle des autres grenouilles. En effet, leur peau est brune et recouverte de tâches noires et cette couleur est un plus pour l’amphibien lors de ses camouflages dans la forêt. Cette caractéristique est vitale pour la petite grenouille qui est principalement menacée par les oiseaux qui l’attaquent très souvent en pensant avoir affaire à un insecte. Cependant, la très petite taille de Paedophryne amauensis n’est pas la seule caractéristique qui la différencie des autres grenouilles. Les caractéristiques particulières de Paedophryne amauensis On dénombre plusieurs caractéristiques particulières chez la petite grenouille de Papouasie Nouvelle Guinée. Au niveau de la reproduction, elle n’a absolument rien à voir avec les autres. La Paedophryne amauensis ne passe ainsi pas par le cheminement classique des espèces de son genre qui part de l’état de têtard avant l’atteinte du stade de grenouille. Elle prend vie aussitôt et apparaît entièrement formée. Les chercheurs expliquent donc que la Paedophryne amauensis est au stade terminal de sa croissance. En d’autres termes, elle est déjà à l’âge adulte dès son apparition sur terre. Par ailleurs, malgré sa petite taille, la grenouille fait des bonds d’une longueur spectaculaire, de l’ordre de 30 fois sa taille. Contrairement aux autres grenouilles, la Paedophryne amauensis ne fréquente pas les eaux et n’a que la forêt pour unique habitat. Une autre particularité de la grenouille est relative au bruit qu’elle émet, semblable à celui d’un insecte, et se fait entendre à l’aube et au crépuscule. Les scientifiques ont passé au peigne fin ce cri et se sont rendus compte qu’il est composé de notes aiguës à une fréquence comprise entre 8400 et 9400 Hz. La vitesse d’émission du cri a, quant à elle, été mesurée à 1,5 note/s. Après cette découverte, les chercheurs ont fait une conclusion qui consiste à ne pas avoir un œil négatif sur ces créatures qui ne sont pas comme les autres. Pour eux, ces êtres vivants sont peut-être vieux comme le monde et ont toujours existé depuis la nuit des temps. Source:http://www.ecologie.tv/biodiversite/la-plus-petite-espece-de-3651.html
  17. Severe mammal declines coincide with proliferation of invasive Burmese pythons in Everglades National Park PNAS January 31, 2012, 109 (5) M. E. Dorcasa, J. D. Willson, R. N. Reed, R. W. Snow, M. R. Rochford, M. A. Miller, W. E. Meshaka, Jr., P.T. Andreadis, F. J. Mazzotti, C. M. Romagosa & K. M. Hart http://www.pnas.org/content/early/2012/01/23/1115226109.full.pdf+html
  18. http://www.pnas.org/content/early/2012/01/23/1115226109.full.pdf+html
  19. Le sévère déclin des mammifères, dans parc national des Everglades, coïncide avec la prolifération des pythons birmans Cette étude a montré, qu'entre 2003 et 2011, qu'il y a une diminution de 99,3% de la fréquence des observations du raton laveur, une diminution de 98,9% pour les opossums et 87,5% pour le lynx roux. Plus aucune observation de lapin n'a abouti. Article:
  20. Le sérum antivenimeux est rare Morsure de serpent: L'antidote est difficile à trouver dans les pharmacies. En 2006, pendant les grandes vacances, Julien Mani est mordu par un mamba vert alors qu’il récolte des arachides avec sa maman au champ. Conduit au dispensaire de Bidou, son village situé à quelques kilomètres de Kribi, l’élève de 6 ans décède huit heures après son admission à cause de l’indisponibilité du sérum antivenimeux. Et chaque année, au Cameroun, des cas de décès par morsure de serpent sont signalés. Bien souvent, il est difficile de trouver le sérum antivenimeux dans les pharmacies privées et celles des hôpitaux. La raison évoquée par les pharmaciens est la faible demande des populations. Pas parce qu’il n’y a pas de morsures de serpent, mais parce que les victimes continuent à se soigner à l’indigène. Les sérums, qui ont une date de péremption, se détériorent et les pharmaciens n’en commandent plus automatiquement pour éviter des investissements à perte. Chef du service des urgences à l’hôpital central de Yaoundé, le Dr Etoundi Mballa reconnaît que c’est un véritable problème, surtout en milieu rural où le nombre de morsures de serpents venimeux est élevé. Cependant, il conseille de relativiser les morsures qui représentent encore la mort dans notre vécu. « Il faut éviter la panique ». Le Dr Etoundi Mballa précise que « la plupart des morsures de serpent ne sont pas suivies d’envenimation. La majorité des serpents rencontrés en milieu urbain sont non-venimeux, comparés à ceux des milieux ruraux. A la base, le serpent ne poursuit pas l’homme, il a une mauvaise vue. La morsure survient lorsqu’il se sent menacé, par exemple quand il est piétiné. Le venin des serpents est plutôt une arme de chasse. Parmi les serpents venimeux, les plus dangereux pour l’homme sont les mambas, les cobras et les grosses vipères. Les manifestations des morsures des autres serpents venimeux, lorsqu’il y a envenimation, ne vont pas être très graves». Dr Etoundi Mballa révèle aussi que les sérums vendus au Cameroun ne sont pas toujours efficaces. La pratique voudrait qu’on capture le serpent mordeur et c’est à partir de son venin qu’est élaboré le sérum pour plus d’efficacité. Or, « les sérums commercialisés au Cameroun sont fabriqués en Inde où on rencontre beaucoup de cobras et de vipères. Au Cameroun, nous avons des mambas et aussi des vipères ». Le prix du sérum antivenimeux distribué par la Centrale nationale d’approvisionnement en médicaments et consommables médicaux essentiels médicaments (Cename) avoisine les 15.000 Fcfa en pharmacie. Celui vendu au Centre pasteur de Yaoundé frôle les 45.000 Fcfa. Source:http://www.quotidienlejour.com/espace-de-vie/arts-de-vie-/8809
  21. Publiant leurs travaux dans le Journal of Wildlife Diseases, des chercheurs américains ont découvert, dans les déjections de reptiles sauvages de l’archipel, des bactéries résistantes aux antibiotiques : une conséquence possible de la proximité des hommes, insulaires ou touristes. Des biologistes de l'Université de l'Illinois, dirigés par le Pr Roderick Mackie, ont analysé les excréments d’iguanes terrestres et marins et de tortues géantes vivant à proximité d'établissements humains ou de sites touristiques dans les îles Galápagos. Ils y ont découvert des bactéries Salmonella enterica légèrement résistantes à la plupart des antibiotiques, mais surtout des bactéries Escherichia coli tout-à-fait résistantes, elles, à ces antibiotiques. "Les systèmes insulaires océaniques tels que l'archipel des Galápagos sont idéaux pour étudier les modèles et les processus de l'écologie et de l’évolution, tels que la résistance aux antibiotiques. Bien qu’elles soient intéressantes, nous n'avons pas suffisamment de données pour identifier la source probable de l'exposition aux antibiotiques et l'origine des gènes de résistance, ni pour tirer des conclusions sur les vecteurs de transmission", a toutefois précisé le Pr Mackie cité par Science Daily. Si d’autres recherches ont déjà montré la présence de bactéries résistantes aux antibiotiques chez des animaux sauvages côtoyant l’homme, des études complémentaires sont nécessaires "pour mieux comprendre comment les associations humaines influent sur le risque de maladies au sein de la faune endémique des Galapagos", ont précisé les chercheurs. Source:http://www.maxisciences.com Article: http://www.jwildlifedis.org/content/48/1/56.abstract
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