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etienne01

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Tout ce qui a été posté par etienne01

  1. Pour un autour c'est encore pire. Il faut aussi penser que les oiseaux changent... Celui qui a aujourd'hui une harris calme, pourra demain avoir un autour déchainé, l'oiseau d'un ami en pension, un couple à mettre en repro, etc... Les installations doivent donc pouvoir répondre à un évantail le plus large possible, qu'une partie grillagée exclue d'office. A titre d'exemple d'autres photos d'installations que l'on peut conseiller car elles ne présentent pas de risque :
  2. Je pense que sur un forum, lorsqu'il y a des questions posées par des débutants, notre rôle n'est pas de donner tout l'évantail des volières possibles et imaginables, mais simplement de conseiller ce qu'il y a de meilleur et sans risque pour l'oiseau. Nous devons faire oeuvre d'un minimum de pédagogie. A longueur de post nous répétons que les grillages sont proscrits. Pourquoi conseiller à des débutants, des installations dont vous reconnaissez que cela peut être désastreux : Personne n'a strictement rien à faire que vos volières fonctionnent chez vous, avec vos oiseaux. A peu près tous les débutants se sont fait avoir avec ce type d'exemple, en croyant que malgré tout, cela allait aussi fonctionner chez eux. Résultat des courses, plusieurs ont eu leurs oiseaux bousillés dès la première semaine et ont du refaire leurs installations. Bravo pour les bons conseils !!!!! je ne comprends pas que l'on s'entête à conseiller des installations qui présentent un risque que des débutants ne sont pas à même d'apprécier. C'est comme si vous appreniez à lire à qqun, en lui montrant les fautes d'orthographe qu'il ne faut pas faire !
  3. etienne01

    Une opportunité unique..!

    Joli chiots, mais poil un peu trop ras à mon gout. L'attitude du chiot de droite reflète assurément, la philosophie générale nécessaire à l'élevage de cette race, que nous autres setterman avons beaucoup de difficulté à atteindre.
  4. En débutant, il n'est pas utile de refaire le monde et de revoir les règles ancestrales de la fauconnerie. Un oiseau se porte sur la main gauche, c'est une règle absolue, dictée par la pratique. Il n'y a pas à se sentir mieux ou moins bien, le seul argument qui pourrait être valable, serait que vous soyez gaucher ( ou ambidextre ...). La main qui reste disponible doit être la plus habile, au service de l'oiseau. La main gantée ne peut servir que de perchoir, il est donc ridicule de garder "la moins bonne main" pour toutes les manipulations courantes. Avec l'oiseau sur la main droite : Comment faites-vous le noeud de fauconnier - ( plus pratique de la main gauche ? ) Comment enlevez-vous les tourrets ? Comment passer les vitesses, oiseau au poing ? etc... De plus, avec une queue rousse, je vous conseille vivement de conserver la main la plus agile à disposition, ne serait-ce que pour donner un poussin au poing !
  5. Seule l'utilisation pour la chasse est autorisée. Les chouettes ne sont pas autorisées à la détention. Nous sommes sur un forum de fauconnerie, donc de chasse.
  6. Non, toutes les idées ne sont pas bonnes à prendre, surtout celle du grillage. Le grillage est proscrit en fauconnerie et vous le dites vous-même : Pourquoi le conseiller à d'autres ?!?
  7. Mouais... Il serait intéressant de connaitre également l'ensemble des clauses de ce type de contrat. Après un calcul rapide ( 12*8 = 100 ) compte tenu des risques inhérents à la chasse, le calcul du risque me parait un peu trop favorable pour que les compagnies s'y engagent sans se border.
  8. Le principe général a respecter est surtout de proscrire le grillage, ce qui est le cas, sur les exemples qui sont proposés en photo.
  9. /realisations-personnelles-bricolage-f40/grillage-t2496.htm Allez voir sur ce lien, en bas de la première page, il y a des photos d'installation très convenables.
  10. Les colliers anti-tiques, ou une application contre les vermifuges externes en cutanée. Nous avons cette chance rare en montagne, de n'avoir pas ou très peu de tiques. En fait, le seul élément régulateur des parasites reste le froid. Je me souviens de mes premières chasse - cela n'est pourtant pas si vieux - 25 ans - il n'était pas rare des fin-septembre, de pouvoir suivre le passage des lièvres dans la gélée blanche du matin. Désormais, c'est fini. Même à 2 000 mètres, les premières gélées blanches n'apparaissent pas avant fin octobre début novembre ! Il s'agit certainement là d'une des plus simple et spectaculaire démonstration du phénomène du réchauffement. Ces gels tardifs, sont probablement une des causes prioritaires du parasitisme en période de chasse, même si les accidents mortels liés aux tiques restent assez exeptionnels.
  11. Terrain glissant. Prises et vols exeptionnels existent mais ne peuvent être considéré comme des généralités. Un vol sur pigeon reste un vol d'entrainement, qui n'a rien à voir avec la prise d'un gibier sauvage. Les oiseaux doivent être volés TOUS les jours si l'on veut maintenir une bonne condition, en particulier avec les juvéniles. Compte tenu des conditions de neige et de météo, nous n'avons pas pu voler chaque jour, pendant une ou deux semaines. Cela s'est immédiatement ressenti dès la 3 ème semaines, pourtant, nos oiseaux n'avaient pas manqué une seule journée de vol depuis le 15 JUIN !! Il ne faut pas non plus confondre un oiseau de 3 mues comme celui de Sokol, qui joue sur son expérience pour compenser une méforme, avec un juvénile dont l'entrainement quotidien est indispensable notamment en première année pour parvenir à acquérir la masse musculaire de fond qu'il conservera les années suivantes. C'est sur plusieurs vols, la capacité de l'oiseau a être régulier à chaque vol et à rester longtemps sur l'aile sans planer, en vol dynamique que l'on peut déterminer la réelle condition physique d'un faucon.
  12. La fauconnerie est un tout. Pour les fauconniers seule la chasse justifie la détention d'une espèce protégée. Détenir un oiseau sans le faire chasser est un non sens, interdit par la législation. La relation avec un oiseau passe par la chasse, qui permet de pouvoir établir des liens de confiance et de complicité. L'oiseau n'est ainsi pas considéré comme un objet ou un petit chien, mais comme un auxiliaire : simplement être avec son oiseau n'apporte rien, ni a son détenteur, encore moins à l'oiseau.
  13. Il y a longtemps en europe..... que certains ont chassé avec succès au grand-duc...et de jour, la nuit ne change pas grand chose au problème. Sur le fond, l'affaitage s'avère long, pour des proies accessibles à un aigle ou un autour. Beaucoup de difficultés pour peu d'intêret.
  14. Nebli réveille-toi et arrête d'encourager des idées fantaisistes. Chasser au grand-duc est très difficile. Les nocturnes ne sont pas accessibles à des débutants. Par ailleurs, le gd duc de virginie n'est pas autorisé à la détention pour la chasse. Cette personne se présente avec une démarche positive qui est de rencontrer des fauconniers. Il faut déjà, commencer par cela avant de se lancer sur des choix d'oiseaux : connaitre la législation, les régles de détention et d'affaitage, être en règle administrativement.
  15. Naturellement, je n'en suis pas persuadé... Cependant, la vidéo est très impressionnante, le lièvre reste sur le carreau au buffetage. La puissance qu'il faut pour y parvenir est extraordinaire. Un autre lien tout aussi impressionnant sur du héron.
  16. Pas mal pour les passionnés du dressage et ceux qui veulent entrainer leurs oiseaux dans leur salon. Mais reste le primordial : faire prise. Pour cela, il faudra toujours que l'oiseau parte comme un enragé derrière le gibier, ait le mental pour prendre. Là, il s'agira bien toujours d'affaitage et plus simplement de dressage.
  17. Je rejoins martial. Si l'oiseau n'est pas handicapé, il ne faut parfois pas chercher midi à 14 h 00. Et passer à la chasse, qui sauvera au moins de l'ennui le fauconnier !
  18. Je n'ai hélas pas de réponse à votre problème, mais je reviens simplement sur vos remarques : 1. Je ne vois pas du tout en quoi une gorge chaude - et visiblement une seule - peut engendrer de tels effets. 2. Le lapin est une viande des plus maigres qui soit. Si il y avait une relation entre votre problème et une nourriture trop riche - ce dont je doute - , ce n'est certainement pas une simple gorge de lapin qui serait l'élément déclencheur. 3. Si la piste de "l'ennui" doit être retenue, il faut bouger l'oiseau, le changer d'environnement régulièrement, le laisser tuer et se gorger de temps en temps, bref le sortir de son quotidien. Si votre oiseau est détenu seul en mue, il est bon qu'il y ait un vis à vis sur l'extérieur, qu'il n'ait pas 4 pans de mur pour seul horizon. 4. Un élément peut également influer : avec un oiseau détenu en mue et tenu au même poids, il faut alterner les régimes alimentaires et les quantités distribuées. Mieux vaut trois jours de pleines gorges diverses ( 1er. : poussin / 2ème : lapin / 3ème : escape de pigeon par exemple ) suivi d'un jour de jeun, que de donner un régime monotone et régulier. Il faut faire varier le poids, sans pour autant affamer l'oiseau. Dès qu'il commence à y avoir des restes, il ne faut pas hésiter à remettre l'oiseau dans une dynamique d'appétance, avec un jour de jeun.
  19. Dans la série, les comparaisons à la con... Va voir sur youtube : ours vs jaguar / Tigre vs lion, etc ... Peut-être bientôt whipet contre harris !
  20. La question n'est vraiment pas de savoir, si cela fonctionne. Comme tout conditionnement, il est évident que l'on obtient des résultats avec un stimulis, qu'il soit sonore ou visuel. Même le chien de Pavlov l'avait compris ! Le tout reste de savoir quelle est l'application pratique en fauconnerie et de ne pas oublier l'essentiel : que l'oiseau chasse. J'utilise aussi parfois un conditionnement sonore sur certains oiseaux, mais pour répondre à un problème ou un but particulier. Cela doit répondre à une démarche globale de conditionnement et je ne vois pas l'interêt de l'utiliser systématiquement, encore moins dans la durée. Que demande-t-on a un oiseau ? : qu'il chasse et qu'il revienne si il n'a pas pris. Toutes les méthodes sont bonnes pour y parvenir. Ce qui me gêne toujours dans ce type d'intervention, c'est que l'on fait croire qu'il y a des recettes magiques, que celles-ci sont totalement innovantes, alors qu'il n'en n'est rien : on réinvente le fil à couper le beurre : qu'est-ce qu'un leurre, si ce n'est un réflexe conditionné visuel, au lieu d'être sonore... Ainsi un débutant convaincu de détenir la vérité à ce sujet risque d'en oublier l'essentiel : que son oiseau chasse. On le voit régulièrement, avec des novices tellement inquiets du dressage, que leur oiseau est totalement conditionné sur le leurre n'attend plus que cela. Didiss a très bien résumé la situation en une phrase : Il ne faut pas oublier qu'en règle générale, tout conditionnement - réflexe conditionné -tend vers l'abrutissement de l'oiseau et nuit plus ou moins à ses qualités de chasse : un oiseau trop conditionné sur le leurre en est l'exemple parfait. Quel est réellement l'intérêt au moins pour un faucon de faire revenir l'oiseau au "clicker" si il revient naturellement vers le fauconnier parce qu'il sait qu'il va être servi ? Encourager la complicité plutôt que le dressage est à mon avis une méthode plus constructive sur le long terme. En ce sens, et pour paraphraser une intervention précédente, utiliser le "clicker" est à l'opposé du "murmure à l'oreille des faucons", car on obtient mécaniquement - par le biais de réflexes conditionnés - des comportements que l'on peut parfaitement acquérir en s'appuyant sur l'instinct naturel de nos oiseaux. En volerie ou il est nécessaire de faire travailler les oiseaux un maximum en les nourrisant un minimum entre chaque vol, utiliser un conditionnement bête et méchant peut effectivement être satisfaisant. En résumé, et comme toujours en fauconnerie, il n'y a pas de règles, pas de recettes miracles, aucune formule magique. Le "clicker" est avant tout un mécanisme de dressage, mais certainement pas une méthode révolutionnaire d'affaitage des oiseaux de chasse, encore moins LA méthode pour parvenir à faire prise d'un gibier sauvage. Il serait intéressant d'avoir des réponses "dépassionnées" sur ce sujet.
  21. Beaucoup de foin pour rien. Nous autres, pauvres naifs qui pensions simplement siffler notre chien en le récompensant d'une caresse ou notre oiseau à chaque fois que nous lui donnions le leurre... Eh bien non ! tel monsieur jourdain qui faisait de la prose sans le savoir, en réalité, nous faisions de "l'operant conditionning " . Mon grand-père qui souflait dans une trompette à chaque fois qu'il donnait la soupe à ses chiens, pour qu'ils reviennent à ce son quand ils étaient perdus, était probablement un précurseur de "l'opérant conditionning" bien avant les années 70 ! C'est magique, la masturbation intellectuelle poussée à ce niveau, cela devient de l'art !
  22. Plusieurs participants du forum, ont participé et même gagné à des sky-trials. Outre l'entrainement, il faut aussi avoir un oiseau adapté à ce type de manifestation : centrage, prise d'amont rapide, qui ne prenne pas le change.
  23. Etre fauconnier se résume en une phrase très simple : "C'est être capable de prendre un gibier sauvage avec un rapace affaité à cette fin." On peut ensuite disserter sur le nombre de prises, le style ou la qualité des vols, mais il est certain que d'une certaine manière, devenir fauconnier ne s'apprend pas, seules comptent les sorties de chasse et les prises sauvages, en fonction de leur degré de difficulté et des territoires. Dans ce sens, les stages peuvent être considérés comme une découverte de ce milieu, mais en aucun cas comme un aboutissement.
  24. Des inconvénients concernant le bloc ou la perche ? Je n'en vois aucun. Comme le soulevait à juste titre Sokol - une fois n'est pas coutume - chaque fauconnier a ses trucs et astuces, mais en définitive il n'y a pas de vérités. La seule chose que l'on peut conseiller est de toujours faire au plus simple : jets, touret, longe, noeud de fauconnier attaché au bloc ou à la perche dans une pelouse. Un bon chaperon et l'oiseau peut être rentré la nuit dans la maison. Avec ce minimum, chaque débutant peut avoir la certitude qu'il ne commettra aucune erreur, que son oiseau sera détenu dans de bonnes conditions. C'est ensuite à chacun de s'adapter en fonction de ses besoins ou de ses moyens pour parvenir à faire SA fauconnerie. En ce sens, je pense que la majorité des conseils qui peuvent être donnés sur un forum sont clairement néfastes à ceux qui débutent. Mieux vaut innover, réflèchir, s'adapter en partant sur des bases simples que de copier ce qui fonctionne ( ou pas .. ) chez d'autres et sera totalement inadéquate à ses propres besoins. Allez voir 100 fauconniers, chacun aura sa version de la détention, de l'affaitage, de la chasse, mais aucun ne pourra faire VOTRE fauconnerie à votre place. Il est primordial de mener sa propre réflexion, de savoir s'affranchir rapidement des conseils, au profit du but que l'on s'est fixé : se donner tous les moyens de faire prise d'un gibier sauvage avec un rapace. Pour cela, tous les moyens sont bons, des plus traditionnels aux plus novateurs. Ce qui fait progresser la fauconnerie en général, est justement que chacun cultive sa propre idée de la chasse au vol, développe un univers adapté à son mode de chasse. Sokol ou nebli ont une fauconnerie à mille lieux de celle que je pratique, pourtant chacun est parvenu à faire une fauconnerie qui fonctionne, avec des conditions et des modes d'entrainements totalement différents, cet échange est aussi ce qui fait la toute richesse de la chasse au vol. Voltaire écrivait qu'il fallait cultiver son jardin. Il n'est pas forcément nécessaire d'aller chercher sur un forum, ou chez les autres, les réponses adaptées que chaque fauconnier a devant lui si il prend le temps d'analyser son oiseau, à partir de concepts qui lui correspondent, en s'appuyant sur les simples connaissances traditionnelles. Tout cela est avant tout affaire de bon sens.
  25. Contrairement à ce que vous semblez penser je ne porte pas de jugement de valeur sur vos intentions. Je tentai simplement à partir d'un exemple - qui se trouve être initialement le votre - de lancer une réflexion qui concerne tous les fauconniers sur le fond : la rigueur que nécessite la pratique de la chasse au Vol, à propos de la détention des oiseaux. L'important est de réagir vite et de s'adapter dès l'apparition d'un problème. En résumé d'analyser les causes, plutôt que de se focaliser sur des conséquences sans intérêt. Le problème n'est pas comment soigner l'oiseau, mais comment déjà blessé ses blessures se sont aggravées, comment faire pour que cela cesse. La réponse est dans votre post : La réponse dépend donc de votre analyse concrète de la situation et de votre jugeotte, pas nécessairement de votre expérience ou de nos conseils.
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