etienne01

Si on ne sait pas qu'il s'agit d'un hybride, cet oiseau a tout d'une grosse harris.

La coccidiose est récurente en permanence sur tous les oiseaux et se développe à chaque baisse de forme. Abaissement, froid, perte, voyage, méforme = appertex en préventif. On ne l'imagine plus aujourd'hui, mais avant de disposer des traitements adéquats type appertex, la coccidiose était la plaie des fauconniers. La coccidiose condamnait autant d'oiseaux chaque année que l'aspergillose.

Bravo pour cette humilité affichée, emprunte de professionnalisme. Par contre, perdre deux ou trois faucons par an, uniquement en les faisant voler au leurre, c'est un peu dommage, surtout si on imagine que les risques de perte sont nettement plus importants lors des entrainements de chasse.

Attention à ce genre de message anonyme : "un de nos membres" membre de quoi ??? "Bagues d'élevage et détention réglementaires, contrôlées par nos soins." les soins de qui ???? Sur le fond, on ne se sépare pas d'un bon oiseau de deux mues, encore moins d'un altai quasi introuvable en France. Merci de ne répondre ni sur le forum, ni par mp.

Idem que passager : ivomec / spartrix et appertex Le seul problème de l'ivomec est le cout et l'injection. Attention cependant : l'ivomec est interdit aux chiens anglais.

Je suis admiratif, ayant beaucoup de difficulté à mettre sur l'aile correctement deux ou trois faucons par an. 15 faucons * 1/2 heure = environ 8 heures par jour...je comprends qu'à ce rythme, il soit difficile de les récupérer. Qu'entendez-vous par affaitage ? du leurre ou de l'entrainement sur escape ?

Pour ce qui concerne les G/P : la taille, en clair un GP sera plus petit qu'un PG. Cela fonctionne généralement aussi dans ce sens avec les autres faucons : faites le test émerillon pélerin / pélerin émerillon, cela est encore plus flagrant.

En gros, c'est n'importe quoi.

Il y en a qui privilégient les hybrides aux gerfaut purs, certains éleveurs font donc le choix d'inséminer les formes avec du pélerin, pour obtenir des hybrides plus gros. Il semble d'ailleurs que ces oiseaux - des P/G -, soient de plus en plus demandés. Ce qui parait logique car à hybridation égale, les oiseaux peuvent faire jusqu'à 100 g de plus.

Formidable et révèlateur. Ce post ne sera pas supprimé mais plutôt archivé, afin d'être lu régulièrement en mémoire de vous La tirade finale achève en apothéose la médiocrité générale de votre intervention. En résumé, un vrai régal, que je ne me lasserai pas de relire, en me disant que j'aurai au moins appris de votre érudition, que du lit de la dordogne, le pélerin avait été réintroduit et ce, probablement en 1 jour ! - exploit, si il en est des centres de soins - puisque la veille vous sembliez découvrir qu'il restait des pélerins en France Courteline disait qu'être pris pour un idiot par un imbécile était une volupté de fin gourmet, découvrir votre prose journalière était une gourmandise quotidienne, dont nous regrettons déjà le pantagruesque repas que vous nous promettiez.

Les G/P sont beaucoup plus faciles sur le court terme et deviennent infernaux quand ils ont tout compris. On peut commencer à faire prise et à obtenir de grands plafond dès un mois de vol pour les meilleurs. La grande difficulté de ces oiseaux est qu'ils apprennent aussi très vite de nos erreurs, les retiennent, qu'il faut des années pour rattrapper un défaut. La grande difficulté des hybrides consiste donc à savoir les canaliser sur le long terme. Les pélerins sont des oiseaux qui évoluent sur 2 ou 3 ans. Les démarrages sont lents et progressifs, il n'y quasiment pas d'erreur qui soit enregistrée en une seule fois. Toute la difficulté du pélerin réside dans la patience à encourager quotidiennement les progrès. En résumé pour le GP : amusant dès le début, très compliqué sur le long terme, pour le pélerin c'est exactement l'inverse !

Bravo sokol ! et félicitation d'avoir des pélerins aussi bien armés que des gerfaut/sacre on comprend mieux pourquoi Poissard !

1000 hectares paraissent suffisant pour qu'un grande quête commence à se dérouiller les pattes ! On ne choisit pas un chien sur une petite annonce, on ne choisit pas non plus la race du chien suivant sa couleur, mais suivant le gibier que l'on veut lui faire chasser, son territoire et son mode de chasse. Les setters irlandais exellents chasseurs sont rares - compter 1 bon irlandais pour 20 bons pointers ou setters anglais - et généralement réservés à l'avance.

Je crois qu'il ne faut pas raconter n'importe quoi. Le pélerin n'a pas failli disparaitre pour de multiples raisons, mais pour une cause essentielle : l'emploi d'organo-chlorés et autres pesticides à usages agricoles, interdits depuis les année 70-80. Pour le reste - et même si cela ne favorise bien entendu pas le développement les populations - il faut arrêter les fantasmes de roman-photo, avec les grimpeurs, les dérangements, les chasseurs. A l'état actuel des choses, seuls deux facteurs limitent l'extension du pélerin : le nombre d'emplacements disponibles ( ce qui explique aussi pourquoi, ils colonisent des sites urbains) et le retour des grand-ducs.

Ah ! comme ce discours emprunt de tolérance et de connaissance profonde de la nature et de l'environnement, flatte délicatement mon âme sensible. Allons-y ! et tentons de faire court... ça va être dur. Oui, bien sur, et plutot que de coucher avec votre copine, pourquoi ne pas vous contenter de la prendre en photo ? Que si vous souhaitez chasser la sauterelle, un filet à papillon conviendra mieux et que vous ne devriez pas parler de fauconnerie, encore moins d'ornithologie au sujet des deux seules espèces que vous semblez être capable d'identifier. La réglementation est stricte, mais encore faut-il la connaitre pour en parler. Et sur le fond, je pense comme vous, on devrait aussi interdire la reproduction - même pour la réintroduction - de tous ceux qui ne pensent pas comme moi, dont vous. Quelle bonne idée ! il aura fallu l'intervention de votre génie en 2010, pour qu'on y pense. Triple buse !! Si vous pouvez observer des pélerins partout en France et en Europe, c'est parce que les fauconniers ont oeuvré pour leur protection et ont entrepris des programmes de réintroduction fructueux, il y a plus de 30 ans !!! Ces populations ne sont plus en danger. Nos oiseaux sont issu de souches captives depuis des dizaines de génération, et n'influent donc en rien sur les populations sauvages, c'est comme si vous reprochiez à un éleveur de chien d'élever des chiots parce que les loups sont en périls. Achetez-vous un guide ornithologique qui ne date pas de l'avant-guerre - si vous savez lire ou du moins comprendre ce que vous lisez - une paire de jumelle et éventuellement la paire d'yeux qui va avec et revenez nous voir.

Je note avec satisfaction que tu confirmes - ce que beaucoup avaient compris de longue date - que sokol est bien ton apprenti et non pas ton maître. Pour ce qui est d'Antonin, j'avoue ma faiblesse dans les traitements de moins en moins infamants qui lui sont infligés. Même l'apprenti le comprend, qui demande désormais à être traité moins dignement, ( surtout en public ) preuve que tout n'est pas perdu et qu'il reste conscient des sacrifices restant à consentir pour parvenir au niveau de la cheville de son maître. Hélas, je crains bien que ce ne soit pas le cas de ton apprenti qui parait prendre ses aises, allant jusqu'à se permettre d'usurper ta position en se faisant passer pour ton maître

Tu ne serais donc pas l'apprenti de sokol ? C'est pourtant ce qu'il raconte partout, vantant même les sévices multiples qu'il te fait subir quotidiennement. Avec de telles recettes, je comprends mieux le pourquoi de vos haleines pestidentielles, comparées aux fraiches odeurs de genepi qui s'exalent de celles des fauconniers de montagne.

Enfin un débutant qui vient à la fauconnerie par la chasse ! Bienvenue sur ce forum.

Une des régles en fauconnerie est aussi de savoir tenir sa langue, parfois pour vivre heureux, mieux vaut vivre caché, qu'en dire trop.

Bon, Nebli, ce n'est pas parce que tu es l'apprenti de Sokol, qu'il faut te croire tout permis ! Un peu de solidarité entre apprenti est requise !

Oui c'est une bonne idée, enfin un apprenti digne d'un grand maitre !

Arrête nico ! on t'a reconnu à l'orthographe !

Un bon apprenti est capable de comprendre même l'inexplicable, quand cela est bien enseigné. Il suffit simplement, de lui faire acquérir des réflexes conditionnés rigoureux dès le plus jeune age. Le nettoyage systématique des volières à la brosse à dent chaque matin dès l'aube, suivi d'une séance, à genoux de 7 ou 8 heures d'entage de pigeon, auxquels le maitre aura préalablement pris le soin de couper toutes les plumes la veille ( et de les mélanger ), permet rapidement à l'apprenti d'apprécier les courses en altitude sous l'aile des faucons ( prendre soin malgré tout de lui apprendre la sagesse à l'envol ). Ainsi un apprenti bien entrainé, peut permettre d'effectuer des économies substantielles de carburant, juste remboursement des soins et enseignements prodigués quotidiennement par son bon maitre. Cependant, à l'instar des chiens, je ne saurais que recommander à tous les fauconniers de ne garder que les apprentis de grande quête, plus efficaces que les broussailleux et qui ne couteront pas plus cher à la soupe du soir.

Oui, mais le singe est en général moins habile que l'apprenti.

C'est pour cette raison qu'il faut aussi disposer d'un apprenti servil aux jarets d'acier - adjoint indispensable du fauconnier de montagne - apte à courrir sous l'aile du faucon, dans les secteurs les plus escarpés !