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Marine-perruche

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Tout ce qui a été posté par Marine-perruche

  1. ici, carottes et concombres ! Et en ce moment, leur grande folie, c'est le bain
  2. Wahou il était magnifique !! Bravo pour ce geste J'espère que son imprégnation à l'humain ne lui a pas trop posé de souci lors de sa réintégration dans le milieu sauvage. C'est touchant quand les animaux sauvages rencontrent notre chemin, et la séparation parfois difficile.
  3. Je me dis surtout que si je faisais un hommage à un de mes disparus, la douleur serait déjà assez difficile en elle même, en plus de la culpabilité, alors si en plus je devais subir des accusations ou des réflexions qui peuvent être blessantes en de pareilles circonstances, ça me démoraliserai encore plus et ce ne serait pas le but recherché. Alors je crois que je vais faire en sorte que la session hommage reste des échanges de compassion et de reconnaissance, et non pas de culpabilisation. Je ne dis pas que certains sont désagréables ou qui que ce soit, au contraire, je veux juste spécifier qu'après tout, cet espace est dédié à notre chagrin et notre amour, et pas à notre esprit critique, alors pour cette session, on laissera à la porte tout jugement, pour mieux partager cette dure épreuve que chacun connait...
  4. Les cages rondes sont très stressantes, car elles n'offrent aucune possibilité de vol et aucune impression d'espace. C'est surement pour cela qu'elles sont oppressée et stressé plus que la normal. C'est pour cela que je t'ai demandé sa cage, je me suis doutée d'un petit hic sur l'environnement. En effet, vaudrait mieux pour leur bien être que tu rachète une grande cage, longue et large (la hauteur ne compte pas) et tu pourras revendre ta ronde. Car les ondulées sont très sensibles à leur environnement. Prends ton temps, dès que tu as le budget et le temps, le changement de la cage sera un excellent investissement N'hésites pas si tu veux demander des conseils avant l'achat ou des suggestions de cage à bon rapport qualité prix. Bonne soirée.
  5. Merci Tikiki pour les photos, en effet c'est mimi, et ça a un bec prononcé pour un si petit oiseau, (enfin bien sûr c'est normal vu l'espèce) c'est touchant de les voir bébés !
  6. En effet comme on l'a déjà dis, malheureusement les accidents arrivent. J'espère que tu n'as pas pris pour toi Martin parrot's les échanges assez théoriques que nous avons eu au sujet de la responsabilité des animaux. Ce n'était pas pour t'accabler, on échangeait nos avis. Comment vas tu depuis le départ de ton César?
  7. Plantes sauvages et graminées pour perruches et perroquets En plus d’une alimentation équilibrée pour le perroquet, graines, germinations, fruits et légumes, vous pouvez le donner régulièrement des plantes sauvages, des graminées, et des baies (attention à être expérimenté pour la recherche de baies, beaucoup sont toxiques et se ressemblent). Les plantes sauvages et graminées apportent des vitamines, minéraux et oligo-éléments essentiels au bon développement du perroquet et à l’enrichissement de son système immunitaire, comme de son quotidien. Les perruches et perroquets aiment les végétaux frais et naturels, qu’ils peuvent travailler avec leur bec pour se nourrir. Cela enrichir leurs capacités exploratoires. Les plantes sauvages ont chacune leurs avantages nutritifs, et leurs vertus thérapeutiques. Et cela peut concerner tant les feuilles que les fleurs ou les graines et parfois même les racines. Nous allons dès à présent voir une liste non exhaustive de plantes saines et vertueuses pour nos oiseaux, quels qu’ils soient. Sachez cueillir vos plantes sauvages et graminées dans des zones non polluées. C’est-à-dire par exemple qu’il ne faudra pas cueillir vos plantes sur les bords de route ou des champs, car ces plantes sont polluées par les gaz d’échappement ou les désherbants. Également ne les cueillez pas dans les chantiers en constructions ou les casses automobiles, les chemins de fer ou les cultures, il y a des produits toxiques, des désherbants, des dissolvants etc. qui rendent les plantes nocives. . L’oseille L’oseille regroupe le Rumex obtusifolius, le rumex conglomeratus, et le rumex crispus. Ces plantes sont riches en potassium, en acide oxalique, en fer, en chlorophylle, et en vitamine C. Elles ont des vertus digestives, dépuratives, laxatives, rafraichissantes et toniques. Ses fleurs peuvent être rouge bordeux à crème. Le mouron blanc (Stellaria media) Cette plante est excellente pour les oiseaux, une des meilleures. Elle est riche en sels minéraux, en carotènes, en vitamines C et E, et elle est diurétique et tonique. Elle pousse facilement, apprécie l’humidité et peut atteindre 50 cm de haut. Ses feuilles sont vertes pomme. Il ne faut surtout pas la confondre avec le mouron rouge (Anagallis arvensis), qui lui est toxique pour vos oiseaux. Ses feuilles sont vertes sombre, tachetées, et les fleurs sont rose pâle à rouge vif. Mouron rouge : TOXIQUE La bourse à pasteur ( Capsella bursa pastoris, ou bourse de berger) C’est une plante au tiges atteignant 50 cm et aux fleurs blanches. Elles sont appréciées par les exotiques et petites perruches. Cette plante est excellente contre le foie gras, étant riche en choline, acétycholine et tanin. Également elle contient des minéraux. Les plantains Les plantains (ou grand plantain, plantain majeurs, plantain des oiseaux) regroupent le plantago major, plantago lanceolata, et le plantago media. Elles sont riches en tanin, sels minéraux et glucides. Elles ont des vertus adoucissante, cicatrisantes et anti-inflammatoires. Le pissenlit (Taraxacum officinal) C’est une plante qui pousse très facilement et un peu partout, et toutes les parties de la plantes sont utilisées : racines, feuilles, fleurs et graines. Cette plante est riche en chlorophylle, alcaloïdes, huiles essentielles, tanin, sels minéraux, et surtout carotènes, provitamine A, vitamines B et C. Contre les problèmes de foie, on fait bouillir les racines en bain marie ou à la vapeur, données refroidies. Les séneçons Les séneçons regroupent différentes espèce de 30 cm à 1 mètre 50 : séneçon jacobée (senecio jacobe), feuilles de roquette (senecio crucefolius), séneçons visqueux (senecio viscosus), séneçon des bois (senecio sylvaticus). Ils sont riches en alcanoïdes, sels minéraux et tanin. Elles ont la vertu d’être vermifuge. Les renouées et persicaires Elles sont surnommées les graines à perdrix, plantes en forme de grappes. Elles regroupent le polygonum persicaria, le polygonum laphatifolium et le polygonum aviculaire. Elles sont riches en fer, tanin et huiles essentielles. Elles sont très vertueuses : diurétiques, dépuratives, laxatives, sédatives, et hémostatiques. L’armoise (artemisia vulgaria) C’est une plante fleurie qui peut atteindre 1,50 mètres, et elle est très appréciée pour ses graines mi-mures. Elles sont riches en huiles essentielles, en tanin, et surtout en vitamine A1, B1, B2 et C. Les orties Les orties regroupent l’ortie dioïque (urtica dioica), et la petite ortie (urtica urens). Les graines sont appréciées par les petits oiseaux, et les feuilles, une fois moulues sont ajoutées à la pâtée d’élevage. On peut également faire sécher les feuilles et racines pour régénérer le sang, en cure. Elles sont riches en carotène, vitamine C, tanin, potassium, calcium, fer, etc et ont d’excellentes vertus antidiabétique, diurétique, hémostatique et antianémique. Les graminées Les graminées très appréciés et sains pour les oiseaux sont le pâturin (Pao annua), le pâturin des prés (Poa pratensis), le pâturin des bois (Poa chaixii), le raygras anglais (Lolium perenne), la petite fenasse (Holcus lanatus) et d’autres. Les millets sauvages Ils sont appréciés des petits oiseaux, surtout quand les graines sont mi-mures. Cela regroupe le millet pied-de-coq (Panicum crus-galli), le digitaria (Panicum sanguinale), le millet à balai (Setaria viridis), le millet commun (Panicum milaceum), le renouée des oiseaux (Polygonum aviculare), etc. Les baies Cette section est réservée aux plus expérimentés. Les baies appréciées et non toxiques sont les baies de sorbier, les baies d'argousier et les baies d'églantier. Il en existe d’autres, mais celles-ci sont les plus faciles à identifier. Personnellement, trop de baies se ressemblent et sont toxiques, il faudra être vigilant. Baies d'églantier Baies d'argousier Baies de sorbier Sources : - http://www.fleurs-des-champs.com/ - http://www.perroquet.biz/alimentation/nourrir/125-recoltez-les-plantes-sauvages.html - biopix.eu - visoflora.com - flore.la.rochelle.free.fr - cueillette.cie.overblog.com - aupetitcolibri.free.fr - naturefg.com - soucieventdupaie.free.fr - cod.edu - hear.org - wnmu.edu - naturalist.fr - vertdeterre.com - primaterra.org
  8. Ha c'est qu'elles sont anxieuses, c'est normal alors Laisse les dans un environnement calme et rassurant, qu'elles prennent leurs repères. Facilite leur la tâche en leur offrant des gamelles de graines facilement accessible, et surtout il faut les laisser tranquilles, le temps qu'elles prennent leur repères. Quelles sont les dimensions de leur cage ?
  9. Ils sont trop mignons !! Qu'est ce qui te fait penser que coco est une femelle ? Je ne saurais expliquer leur changement de comportement mais c'est bon signe. Combien de temps ont-ils passé à ne pas s'apprécier? le changement s'est fait comment? En tout cas tant mieux si actuellement ils s'apprécient, cela va te faciliter les choses.
  10. Bonjour lea, elles semblent faire ce mouvement quand elles se nourrissent, ou juste après, ou des heures durant, complètement en dehors des heures de nourrissage, par exemple pendant le repos, les jeux ? Ont-elles d'autres comportement hors norme à coté de cela ? Si c'est un comportement isolés qu'elles ont toutes quelques minutes dans la journée ce n'est rien d'inquiétant.
  11. Je ne connais pas du tout les comportements sexuels du pionus, mais ceux de ton amazone à ailes oranges seront assez explicites. L'amazone fera des petits cris attractifs, en battant des ailes dans le vide et en se dodelinant. Selon son sexe il cherchera à nourrir ou être nourrit et se frottera contre son humain partenaire. Il peut devenir en période de montée hormonale plus territorial et criard. Tes deux perroquets semblent-ils former un couple? Quels comportement adoptent-ils ?
  12. Les cinq sens chez les perruches et perroquets Extrait du texte de « Claire Grosset » dans « Oiseaux exotiques », juin 2001, rubrique vétérinaire La vision Les oiseaux ont une acuité visuelle supérieure à celle des primates grâce à une dentelle supérieure des photorécepteurs sur la rétine (comme une « haute définition »). Par exemple, un faucon crécerelle est capable de voir un insecte de 2 mm à 18 mètres de distance. L’acuité visuelle dépend de l’âge de l’oiseau, de la longueur d’onde de la lumière et de son intensité. De plus, certains oiseaux de proie ont deux fovea sur chaque œil (zone de concentration maximale des cônes, située au centre de la macula, zone de la rétine d’acuité visuelle maximale), c’est-à-dire qu’ils peuvent voir 3 objets nets simultanément dont l’un est visualisé en trois dimensions. Pour certains cela permet de chasser en vol avec une vision panoramique et en relief. Les oiseaux possèdent trois paupières. La paupière inférieure est en général plus mobile que la paupière supérieure. La troisième paupière se situe dans le coin interne à l’œil et se déplace vers le coin latéral. L’œil des oiseaux n’est pas innervé de la même façon que celui des mammifères. C’est le même nerf qui est responsable de la sensibilité de la face et de la mobilité des paupières. La paupière supérieure est innervée par un autre nerf. La pupille est innervée par des nerfs autonomes. Ce qui signifie que l’oiseau peut volontairement réguler le diamètre de sa pupille, au contraire des mammifères. Lorsqu’il y a beaucoup de lumière, notre pupille devient automatiquement plus petite. Les oiseaux peuvent réguler à volonté le diamètre de leur pupille jusqu’à pouvoir faire une asymétrie entre les pupilles des yeux. La couleur de l’iris évolue avec l’âge dans beaucoup d’espèce. Chez les nouveaux nés la lumière est perçue avant l’ouverture des paupières. C’est pourquoi il est conseillé de conserver les juvéniles dans une demi-obscurité et non dans un incubateur éclairé par la lampe UV. Chez les psittacidés, dans les conditions naturelles, les parents choisissent un tronc d’arbre creux pour faire leur nid. Il a été démontré que les juvéniles élevés loin de la lumière ont une croissance plus rapide. L’accommodation de loin (vision de près et de loin) s’effectue grâce au cristallin, mais aussi à la cornée. Le fond d’œil des oiseaux est particulièrement surprenant. En regardant la rétine, on observe une structure noire implantée au fond de l’œil et s’avançant vers le cristallin. Il s’agit du pecten, dont le rôle n’est pas élucidé à ce jour. La partie la plus externe de l’œil des oiseaux est ossifiée, ils peuvent donc se fracturer l’œil, c’est pourquoi on effectue parfois une radiographie en cas de traumatisme crânien. Les oiseaux peuvent voir les couleurs grâce à des cônes. Ces capteurs rétiniens sont plus ou moins abondants selon les espèces. Certains oiseaux diurnes possèdent des gouttelettes lipidiques colorées dans leurs cônes qui améliorent le contraste entre les couleurs. La couleur de ces gouttelettes peut être modifiée par l’alimentation, et les carences engendrent donc une moins bonne vision. Les psittacidés sont capables d’observer toutes les couleurs, mêmes les couleurs UV, et ils montrent des préférences pour certains couleurs. La vision est tétrachromique chez la plupart des oiseaux alors qu’elle est trichromique chez les primates (distinction du rouge, vert et bleu). Les oiseaux diurnes sont capables de voir les UV, ce qui modifie pour eux l’aspect du plumage, des fruits, etc. La plupart des oiseaux disposent de 5 types différents de cônes : 4 cônes simples et un double-cône intervenant dans la détection des mouvements. Au contraire, les strigiformes (chouettes, hiboux), comme les primates, sont trichromates et leur discrimination entre le rouge et le vert est peu prononcée. On peut penser que la vision est un critère mineur de la sélection naturelle chez les oiseaux nocturnes. Certains oiseaux peuvent voir la nuit grâce à un grand nombre de bâtonnets. Ces capteurs rétiniens permettent de voir lorsque la luminosité est faible, mais seulement en nuances de gris. Les bâtonnets sont 100 fois plus sensibles à la lumière que les cônes. C’est pourquoi en faible luminosité, on voit en noir et blanc. Parmi les psittacidés, ceux qui possèdent la plus grande proportion de bâtonnets par rapport aux cônes sont plus actifs au crépuscule, mais perdent la vision des couleurs plus rapidement lorsque l’intensité de la lumière décroit. Par exemple, la perruche de Bourke a un ratio cônes/bâtonnets supérieur à celui de la perruche ondulée. Cela lui permet de voir au crépuscule mais lorsque le soir tombe, elle commence plus rapidement à voir en noir et blanc. Toutefois il semble que le ratio cônes/bâtonnets ne soit pas le seul critère pour évaluer la vision nocturne. En effet des chercheurs ont démontrés que les oiseaux qui commencent à chanter le plus tôt le matin n’ont pas le plus grand nombre de cônes, mais plutôt le plus grand nombre de connexions nerveuses permettant d’amplifier le message capté par les photorécepteurs de la rétine. Les oiseaux chanteurs migrateurs, comme la Fauvette des jardins ou le rouge-gorge, possèdent une aire cérébrale permettant de s’orienter en fonction du champ magnétique terrestre grâce à des informations visuelles. De plus, la sensibilité de leurs bâtonnets varie en fonction du champ magnétique terrestre. La vision et la détection du champ magnétique sont donc étroitement liées. L'audition Lorsque l’obscurité est complète, les oiseaux nocturnes répètent leurs proies grâce à l’audition. Les disques faciaux des chouettes participent à la direction du son vers les oreilles. Leurs plumes amplifient le son comme lorsqu’on forme une coupole avec les mains sur nos oreilles. Leurs système auditif est très développé : chez l’effraie des clochers, certains neurones répondent uniquement à des sons venant d’une région précise de l’espace autour de l’oiseau. Cette carte mentale est couplée à la vision et permet de localiser précisément une proie dans l’espace. De plus, les oreilles des chouettes sont légèrement asymétriques. L’une est plus haute que l’autre, ce qui permet un repérage précis des proies en analysant la différence de réception du son par les deux oreilles. Enfin, certains oiseaux entendent les infrasons. Le toucher Au niveau de leur derme, les oiseaux possèdent des récepteurs aux vibrations, sensibles aux courants d’airs, en relation avec le vol. Certains oiseaux utilisent aussi le toucher dans la recherche de nourriture, particulièrement la nuit chez les espèces possédant peu de cônes. Le toucher est un sens primordial pour les oiseaux nouveau-nés. En effet, ils naissent sourds et aveugles, et le toucher est le sens qui leur permet de s’orienter pendant les repas. Il est important de simuler le toucher des oiseaux élevés à la main en les gardant dans un espace étroit, contenant une serviette, si possible repliée sur leur tête, afin de jouer le rôle des parents, qui passent du temps dans le nid à couver leurs petits. Il est conseillé d’habituer les juvéniles au toucher d’une serviette. Cette étape de désensibilisation améliorera par la suite les éventuelles visites chez le vétérinaire. En effet, beaucoup de vétérinaires utilisent une serviette pour tenir les oiseaux, ce qui peut les effrayer. Certains psittacidés sont capables de jouer à cache-cache sous une serviette, avec une bonne socialisation. Lorsque la serviette est posée sur l’oiseau, il ne doit plus bouger pour être félicité et récompensé. Ce jeu est très utile en cas d’urgence car il permet de prendre une radiographie sans anesthésie générale : l’oiseau reste immobile volontairement. Le gout Même si les perroquets ont beaucoup moins de récepteurs gustatifs comparé à l’homme ( 350 chez le perroquet contre 9000 chez l’homme), ils sont capables de détecter certains composés utiles à la survie. Ainsi les oiseaux qui se nourrissent de nectar détectent le gout sucré. Chez les calopsittes élégantes, le sel est rejeté à forte dose, tandis que les carduelidés (chardonnerets, tarins, verdiers) et les oiseaux possédant une lande à sel ont tendance à rechercher le gout salé. Certains oiseaux marins sont capables de suivre les vers dont ils se nourrissent, grâce au gout du sable. Enfin, certains composés potentiellement toxiques des plantes (la quinine, la gramine et les tannins) sont détectés par les oiseaux mais pas par les primates. L’odorat L’odorat des oiseaux est peu développé, hormis chez certaines espèces de charognards comme les urubus ou les vautours. De même, l’albatros à pieds noirs est capable de repérer une odeur appétissante à 30 km. Les oiseaux ont donc des sens orientés selon des critères qui leur sont utiles dans le milieu naturel. Selon le mode de vie diurne ou nocturne de l’espèce, la vision des oiseaux est très variable. Enfin le toucher est un sens indispensable au développement équilibré des oiseaux et doit être pris en compte lors de l’élevage à la main. Sources : - Extrait du texte de « Claire Grosset » dans « Oiseaux exotiques », juin 2001, rubrique vétérinaire - UQROP : union québécoise pour la réhabilitation des oiseaux de proie
  13. Je suis vraiment désolé pour Bouboule et Crumble, je sais tellement ce que c'est N'achète jamais en animalerie Vanina, parce qu'en plus de faire en sorte que les jeunes femelles soient mortellement pleines, ils ont tous des fragilités respiratoires et immunitaires. Ils sont plus qu'incompétent, et si tu leur achète un animal tu ne fais pas un sauvetage, tu laisses la place à 10 malheureux derrière et tu finance et cautionne ces commerces de malheur. Passes par des particuliers et associations. Encore désolé pour tes chéris.
  14. je te conseillerai l'aviator, car les gris ont une ossature très lourde, et alléger la harnais sera d'un aide pour qu'il s'exerce au vol mais également dans ses débuts pour accepeter le harnais (plus léger donc moins contraignent). Maintenant le feather est plus simple mais avec de l'entrainement tu prendras vite le coup de main avec l'aviator. Ce n'est qu'un avis perso Ash pourra surement te conseiller
  15. Marine-perruche

    Ma meute

    Les chiens ont également été ma première passion, avec un Berger allemand et un caniche à la maison. J'adorais lire à leur sujet, sur leurs capacités, leurs caractères et leurs besoins, puis ma passion s'est agrandit pour les perroquets et les nacs. Mais avec les chiens ou les rats, j'ai quelque chose que je n'ai pas avec les oiseaux, c'est le feeling et la facilité. Donc les perroquets sont un nouveau défit En tout cas ça me fait plaisir de pouvoir voir vos chiens, ils sont magnifiques, ça fait rêver ! Quand j'aurais un graaand jardin, c'est sûr j'en aurai des chiens !
  16. Marine-perruche

    Ma meute

    Ils sont trop mignons tes chiens Tikiki, c'est vraiment touchant leurs bouilles
  17. oh comme ils sont trop mignons Ca t'en fais combien?
  18. L'APPRENTISSAGE DU PERROQUET DÉFINITION ET CARACTÉRISTIQUES Définition de l'apprentissage L'apprentissage consiste à acquérir ou à modifier une représentation de l'environnement. Ce processus cognitif permet à un animal d'utiliser son expérience passée pour assimiler l'organisation de son environnement et les conséquences de ses propres actions afin de s'en accommoder. Il contribue donc à l'autorégulation et à l'adaptation des comportements. C’est acquérir une connaissance ou une pratique de quelque chose par expérience. C’est observer, assimiler, enregistrer, retenir, classer, déduire, agir, se tromper, recommencer et réussir ou non. L’apprentissage est la résultante de l’observation et de la combinaison des informations. Les comportements adoptés par apprentissage persistent parce qu’ils sont récompensés, de manière volontaire ou non, et que cela apporte au perroquet ce qu’il souhaite, lui donne satisfaction. CARACTÉRISTIQUES DE L'APPRENTISSAGE CHEZ LE PERROQUET La transmission des informations - (niveau 0) C’est la transmission des informations, qu’elles soient justes ou fausses, sans correction, c’est le fait de savoir quelque chose. Par exemple, c’est le geste d’ouvrir le sachet de graines devant le perroquet, ce qui le fait réagir et réclamer à manger. Le conditionnement répondant - (niveau 1) C’est apprendre à réagir et à répondre, en plus de la transmission des informations. C’est l’exemple du harnais, quand on le tient à la main, si le perroquet a appris que le porter signifie faire une sortie très enrichissante, il sera tout excité. C’est, par exemple, à chaque fois que votre compagnon rentre à la maison, si vous ouvrez tout de suite la cage de votre perroquet, celui-ci assimilera l’arrivée du compagnon à la sortie de sa cage et sera excité à chaque arrivée. Les aptitudes à changer le comportement - (niveau 2) En fonction d’une information, le perroquet va interpréter, acquérir du savoir- faire et à s’auto-corriger, il va adapter son comportement. C’est l’exemple de l’observation-imitation. Apprendre signifie comprendre - (niveau 3) Le perroquet va observer, analyser, et valider un comportement de lui-même en fonction de ce que cela lui apporte, il veut savoir pourquoi, c’est une étape élevée d’apprentissage. C’est l’exemple des capacités des humains, des grands primates et des perroquets. Le perroquet va comprendre un comportement. Par exemple, à la fin d’un exercice réussi, vous sortez de votre poche une graine de tournesol. Si vous savez qu’il va réussir et la sortir à l’avance, il finira par analyser et ne plus finir le tour car il saura qu’il aura sa récompense, en anticipant sur votre comportement. Le perroquet fait ses choix - (niveau 4) C’est le niveau le plus élevé de l’apprentissage, avec l’observation, l’interprétation, l’auto-validation des comportements, les réussites et erreurs. C’est une éducation, un apprentissage continu. Le perroquet a son libre arbitre. LES DIFFÉRENTS TYPES D’APPRENTISSAGE Le conditionnement classique Le conditionnement classique c’est le conditionnement pavlovien, conditionnement répondant, ou de type I. Dans le conditionnement répondant, l'activité est une réponse de l'animal (salivation du chien) à une stimulation. Dans le conditionnement opérant (informations), l'animal lui-même doit effectuer un geste, une action afin d’obtenir une réponse, il doit avoir un comportement (par son action sur le levier, le rat obtient de la nourriture). L’apprentissage vicariant L'apprentissage vicariant, ou l’apprentissage imitatif, consiste en la modification de l'acquisition d'une réponse par l'individu observateur, suite à l'observation par lui, de la séquence des événements constituant l'apprentissage de cette réponse par l'individu modèle. L’apprenant intègre les informations physiques et sociales qui régissent le comportement du modèle et les applique à ses propres actions, si les conséquences ont été positives. Il arrive donc à reproduire le comportement sans la présence du modèle, puis il apprendra à modifier son comportement au besoin. C’est l’exemple du perroquet qui imite un mari qui crie après sa femme, il criera également sur elle pour lui parler. L’apprentissage essai-erreur Le perroquet est mis en situation, on ne lui donne aucun mode d'emploi (parfois même pas la condition de succès ou d'élimination). Pour fonctionner correctement, il faut que la solution soit assez facile à trouver, puis il faut enchaîner des situations de difficultés croissantes en permettant de nombreuses répétitions. C’est un comportement qui conduit à un état satisfaisant de l’organisme alors que le perroquet va apprendre à associer le comportement à la situation, et le reproduira au besoin. En faisant spontanément et au hasard différents essais et également des erreurs, il va apprendre à adapter ses comportements en fonction de ses besoins, à l’intérieur du milieu dans lequel il évolue. Conditionnement instrumental Le conditionnement opérant, aussi appelé conditionnement instrumental, apprentissage skinnerien ou conditionnement de type II, s'intéresse à l'apprentissage pour lequel il résulte une action, qui tient compte des conséquences de cette dernière et qui rend plus ou moins probable la reproduction du-dit comportement. On distingue le conditionnement opérant du conditionnement classique par ses conséquences sur l'environnement et par le fait que la réponse n’est pas une réaction réflexe de l'organisme. C’est un phénomène par lequel on renforce un certain comportement se rapprochant plus ou moins du comportement souhaité jusqu'à ce qu'il aboutisse. Cela peut s'étendre à un ensemble de plusieurs comportements consécutifs et complexes. Le perroquet est actif et la conséquence dépendra de son comportement. C’est une réponse volontaire qui génère un comportement qui modifie certaines relations à l’environnement. Cela n’implique pas l’association d’un nouveau stimulus à une réaction préexistante, mais à celle d’une nouvelle conduite motrice. C’est l’exercice qui entraine des récompenses positives. Sources : - Jean PIAGET - La psychologie BEHAVIORISTE - http://www.vetopsy.fr/thera/app/observ.php - http://www.mapreps.com/theoriesapprentissage.htm - http://desette.free.fr/pmevtxt/LApprentissageVicariant.htm - Séminaire de Johanne Vaillancourt
  19. J'adore la gamme de bleues sur le perchoir Excellente la photo de ta belle qui couve !
  20. La socialisation du perroquet : définition et explication La socialisation est un processus par lequel sont transmises des valeurs, les normes et les apprentissages dans le but de construire une identité sociale et d'intégrer l’oiseau au groupe social. La socialisation permet à l’oiseau d’être un être social, et elle est aussi créatrice de lien social. Elle assure donc l'intégration de l'individu ainsi que la cohésion sociale. La socialisation est un processus qui se poursuit tout au long de la vie de l'individu, la socialisation primaire est distinguée au cours de l'enfance. C’est parce que les différentes phases de socialisation sont essentielles et constructives pour qu’un perroquet devienne épanouie et stable. Car un sevrage trop précoce ne permet pas au perroquet d’exploiter pleinement sa phase de socialisation primaire, il ne développe donc pas assez son seuil d’émotivité, il sera plus sensible aux changements, plus émotionnel, plus sujet aux troubles du comportement, en résumé, moins stable psychologiquement. C’est l’exemple typique des perroquets gris du Gabon sevrés à 3 mois alors que d’après leur éthogramme et donc leurs besoins, ils ne devraient être sevrés qu’à 10 ou 12 mois. La socialisation primaire • La phase d’attraction : le bébé perroquet est ouvert et curieux, il fait preuve d’une grande réceptivité et va apprendre de l’environnement. • La phase d’aversion : c’est la phase de la peur de tout, de la nouveauté • La phase exploratoire et sociale : début des explorations, du vol. Il s’ouvre de nouveau à son milieu, il est curieux, et moins peureux, c’est une période où il faut l’encourager et le récompenser de ses efforts. Il faut mettre en place le renforcement positif pour l’inciter aux découvertes, qui vont élever son seuil d’émotivité et le rendre équilibré. C’est une longue période où les traumatismes s’imprègnent. Le bébé qui doit tout découvrir seul aura un niveau d’anxiété élevé. • L’apparition des comportements adultes • La recherche du compagnon : il recherche et choisit son partenaire de vie.. • Le sevrage alimentaire : c’est seulement maintenant qu’intervient le sevrage alimentaire, et pas avant. Oui, les comportements exploratoires et sociaux sont sensés apparaitre avant le sevrage. La puberté : la socialisation secondaire • Le stade d’affirmation • Le raffinement des acquis • Les comportements sociaux autonomes • Les comportements exploratoires accrus • Les débuts de l’activité hormonale • Les associations préférentielles fixées • L’endurcissement des comportements acquis • La correction des comportements plus difficiles La socialisation secondaire qui se produit pendant la puberté est une période difficile pour votre perroquet comme pour vous, et il faudra s’armer de patience et de persévérance. Dans le langage familier c’est assimilé à « l’adolescence » où il faut souvent recommencer l’apprentissage. Votre perroquet est travaillé par les hormones, il s’affirme et va tendre à l’indépendance. Cette période peut durer entre 3 ans chez les gris du Gabon à 8 ans chez les Aras. La maturité • Le stade de réalisation • La maturité sexuelle • Le bagage génétique complété • Une personnalité complétée • Des comportements fixés • La correction des comportements devient difficile : c’est possible mais difficile puisque les comportements ont été efficaces pendant des années pour le perroquet. • Les comportements sexuels : on ne peut pas inhiber le comportement sexuel, il est normal et ne doit pas être puni. Il ne faut pas rejeter les régurgitations ou sembler dégouté, c'est un geste extrêmement généreux. Sources : - Séminaire de Johanne Vaillancourt - Photos de Martin
  21. Bonjour et bienvenue Lea Félicitation pour l'acquisition de ta première perruche En effet les perruches sont plus heureuses à plusieurs, tu fais donc un excellent choix en lui prenant de la compagnie. Et oui quoi qu'il arrive la quarantaine est essentielle et incontournable. Même s'ils arrivent de la même animalerie, ils n'arriveront pas du même fournisseur (éleveur) et donc certains pourront être porteurs de maladies. La quarantaine permet de dépister toute anomalie et aide beaucoup à l'intégration. Bonne journée et à bientôt parmi nous !
  22. Bonjour et bienvenue Olivier En effet, lors des sorties de ta perruche à collier, il faudra que les chats et le chien soient impérativement dans une autre pièce et que ta perruche puisse voler et jouer en toute sécurité plusieurs heures par jour. Ils suffit qu'ils soient chacun dans une pièce différente, porte fermée
  23. Oh le coquin qu'il est mignon ! sort-il plus facilement maintenant ? Une module sur un étendoir à linge solide peut être une bonne idée, si cela donne un parc en hauteur, cela attirera tes belles qui seront bien gâtés. Mais le tout doit être stable et solide. Hâte de voir cela
  24. Bonjour et bienvenue Jomel Je suis désolée de lire que tu as une petite malade à la maison Le vétérinaire que tu as vu était-il spécialisé oiseaux? Semblait-il bien connaitre son métier avec les perroquets ou semblait-il hésiter ? il faudrait connaitre le noms des produits si tu en as la possibilité, cela nous aiderait beaucoup. Qu'a-t-il diagnostiqué ? Actuellement on ne va malheureusement rien pouvoir faire pour t'aider. J'aurai tendance à te suggérer une cure de vitamines, mais une fois le traitement terminé, sait-on jamais si cela altère son efficacité. En effet fientes collé, respiration bruyante et narines bouchées ne sont pas bon signe pour une perruche. La mettre au chaud, au calme, avec de la nourriture enrichie en protéines (oeufs, germinations, oléagineux cuits), et après le traitement une cure de vitamines. J'espère sincèrement qu'elle se rétablira vite, bon courage !
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