Jacques09
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Novel article, dans Libération cette fois : Les comité permanent de la Convention de Berne, dédiée à la conservation de la vie sauvage, a placé la France sous surveillance pour défaut de protection de cette espèce menacée d'extinction. (détails ici : http://www.liberation.fr/actualite/economie_terre/294365.FR.php). Bon, on le savait déjà, mais ce qui est affligeant aussi, c'est de voir les réactions des lecteurs de Libé à cet article ! Voir : http://www.liberation.fr/php/pages/pageReactionsList.php?rubId=728&docId=294365#reac755113
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OURS : 10 erreurs fréquentes ... 1 - Pas assez de concertation avant les lâchers de 2006 ? Plus de 122 réunions de concertation sur l'ours ont été menées par l'Etat sur toute la chaîne pyrénéenne en 10 ans ! 70 en 1995-1996 et plus de 50 en 2005 pour les 5 lâchers de 2006. La porte parole de l'ADDIP, association anti-ours, déclarait encore en aout 2007 : "S'ils réintroduisent des ours, nous mettrons le feu à la montagne !". Pour ces "ultrapastoraux"*, l'ours n'est acceptable qu'enfermé ou mort et refuser tout soutien à l'ours est leur position butée depuis le départ. Voilà en réalité le préalable qu'ils imposent à l'Etat et qu'ils veulent nommer "concertation". Voilà pourquoi ils ont saboté (vacarme incessant) ou boycotté la plupart des réunions de concertation de 2005. 2 - D'origine slovène, les ours sont "trop" carnivores ? Les ours d'origine slovènes sont de la même espèce et mieux, de la "même lignée génétique" que les ours pyrénéens originels : la lignée Ouest. Impossible de lâcher dans les Pyrénées des ours d'Espagne des Cantabriques pour cause de population encore trop faible et impossible choix Croate pour cause de rage. Le choix Slovène a aussi été orienté par la très grande adaptation aux Pyrénées des 3 ours slovènes lâchés il y a 10 ans : de 3 en 1997, ils sont désormais une quinzaine sur 20 ours ! Qu'ils soient slovènes ou pyrénéens de souche, dans les Pyrénées, les ours ont strictement le même régime alimentaire et sont végétariens pour 60 à 80 % de leur alimentation. Plus de 10 ans de recul le prouvent : ce n'est pas son origine qui fait de l'ours un gros consommateur de brebis : c'est bien la différence de mode de gardiennage des troupeaux. Omnivore dit "opportuniste", l'ours attaquera toujours davantage les troupeaux dépourvus de mesures de protection. Quoi de plus logique ? 3 - Les ours slovènes inadaptés aux Pyrénées ? Parceque "Palouma" s'est tuée après avoir glissé sur une barre rocheuse ? La Slovénie n'est pas un pays de plaine et les ours y ont l'habitude de reliefs escarpés (le karst slovène est constellé de failles et de gouffres). Ce type d'accident arrive en Slovénie mais aussi ... à toute sorte d'animaux de montagne de quelque pays que ce soit. Alors c'est l'accident de "Franska" qui prouverait que ces ours ne sont pas adaptés ? Franska a été traquée illégalement pendant des mois par les ultrapastoraux* qui se sont vantés d'avoir pour objectif de la faire redescendre en plaine vers la route nationale... ou de l'éliminer : on a retrouvé plus de 40 plombs de chasse dans son corps ! En Slovénie, ces 5 dernières années, 103 ours ont été tués dans des accidents de circulation. Et surtout, quoi de plus fiable que des reproductions réussies pour juger de la bonne adaptation d'un animal à son milieu ? D'ores et déjà, "Hvala" lâchée en 2006 a apporté 2 oursons aux Pyrénées ! Les ours d'origine slovène ont même fait mieux dans les Pyrénées que les ours pyrénéens originels eux-mêmes avec des reproductions en âge précoce, des portées en moyenne plus importantes et un taux de survie des oursons supérieur. 4 - Ours et pastoralisme, cohabitation impossible ? Non seulement la cohabitation existe et est pratiquée par un nombre grandissant d'éleveurs et de bergers mais en plus, elle a fait ses preuves et permet de régler bien plus de problèmes que seulement celui posé par l'ours (autres prédations,vol etc...). Une étude menée de 2003 à 2005 auprès de 37 éleveurs et sur 18 estives montre que la seule mesure de protection "chien patou" (qui fait fuir l'ours) a fait baisser les pertes de ... 90 % ! A cette mesure doivent s'en ajouter deux : - regroupement nocturne du troupeau en enclos cloturé (électriquement ou pas). - présence effective du berger (au quotidien et pas de façon simplement hebdomadaire) Dans tous ces domaines, l'Etat propose des aides non négligeables. Mieux, l'ours a permis en bien des lieux des Pyrénées une constante amélioration des conditions de vie des bergers et des éleveurs grâce aux financements qu'il a généré : le FIEP (Fond d'Intervention Eco-Pastoral, association de protection de la nature favorable à l'ours) en Haut-Béarn est à l'origine des primes de dérangement en cas d'attaques d'ours. En début et fin d'estive, sur toute la chaîne des Pyrénées, l'élevage en zone à ours bénéficie d'héliportages gratuits. La présence de l'ours a permis aussi de restaurer des dizaines de cabanes de bergers et évidemment, d'embaucher des bergers et toute une équipe de bergers itinérants chargés de mettre ces mesures en place. Le plan ours 2006-2009 redistribue ainsi 50% de son budget au pastoralisme ! Mais le pastoralisme bénéficie aussi de nombreuses autres aides publiques. 5 - Les ours en "réserve", un compromis ? Les deux associations anti-ours ou leurs membres ont déjà plusieurs fois exprimé leur souhait d'en finir physiquement avec l'ours dans les Pyrénées. Ils sont prêts à la faire de façon passive (convaincre les autorités de ne plus rien faire pour l'ours) ou de façon active comme ce fut le cas avec "Franska". Par souci de "communication", les ultrapastoraux* laissent maintenant entendre, qu'ils sont favorables (!) à la présence d'ours... mais dans une "réserve" de 5 à 8000 hectares ! Or 20 ours ne resteront jamais perclus dans 8000 hectares. Cela signifie qu'il faudrait soit clôturer cette "zone", soit y exercer une surveillance des ours incompatible avec la définition même de ce qu'est un animal sauvage. L'Etat reconnaît que c'est "impossible à réaliser techniquement et pose un problème d'éthique en terme de conservation de la nature." Mais pour les ultrapastoraux*, mettre en place dans les Pyrénées un monde à l'envers avec "Les animaux sauvages, en enclos ; les animaux domestiques, en liberté !" semble devenu une priorité. En guise de compromis, c'est une négation pure et simple de l'ours qui est proposée à la société entière. 6 - Il n'y avait pas urgence à renforcer , attendons encore ! Sur les 20 ours pyrénéens présents en 2007, seuls 2 (!) mâles ne doivent rien aux programmes de renforcement de 1996-97 et de 2006. C'est dire si les renforcements étaient nécessaires. Avant les 5 lâchers de 2006, une étude publiée dans les Comptes-rendus de l'Académie des Sciences (G. Chapron et al., CR Biologies 326, 2003), basée sur des modèles démographiques, préconisait les lâchers rapides d'au minimum 11 ours. Différée de 10 ans, l'opération ne réduirait plus le risque d'extinction. Or en 2006, seuls 5 ours ont été lâchés et deux sont morts ce qui fait 3 ours au lieu de 11 ... presque 4 fois moins que nécessaire ! Laisser la population d'ours française dans l'état actuel, c'est faire une croix définitive sur cette espèce et adopter une position revenant à éradiquer l'ours en France. Sur base scientifique, on peut affirmer que si de nouveaux lâchers ne sont pas effectués rapidement, tout ce qui a été organisé depuis 1996 pour l'ours n'aura servi à rien. 7 - L'ourse "Franska", trop "carnivore" ? Dès son lâcher, l'ourse "Franska" a dû faire les frais des méthodes ultrapastorales*: pots de miel contenant du verre pillé dispersé dans son secteur (11 pots!), traques et battues incessantes, jusqu'à la repousser (volontairement) sur la route qui lui fut fatale. Or, comme l'indique Le Dr Claude Guiraud, vétérinaire et président du groupe d’étude européen d’Éco-pathologie de la faune sauvage de montagne. (GEEFSM) : « (...)Un ours est à 80% végétarien. Le milieu où a été lâchée Franska est riche, mais fallait-il qu’elle puisse l’exploiter. Ramasser des végétaux, tubercules, des fruits… exige du temps et donc de la tranquillité. Traquée sans arrêt, l’ourse a paré au plus pressé pour se nourrir efficacement, d’où des prédations animales. Plus on gêne les ours, plus ils deviennent carnivores, se nourrissant à la sauvette.(...)>> (La dépêche du Midi du 11 août 2007) 8 - Seuls les élus locaux devraient gérer l'ours ? La plupart des élus locaux pyrénéens n'ont pas brillé par leur atttitude à l'égard de l'ours : au lieu de jouer leur rôle de médiateurs, de facilitateurs, de pédagogues, ils ont préféré griller l'ours comme un vulgaire fusible pour paraître comme des défenseurs des éleveurs... alors que bien souvent, ironie du sort, leurs décisions et leurs politiques n'ont pas servi le pastoralisme quand elles ne l'ont pas fragilisé. Faut-il vraiment compter sur une gestion de l'ours à l'échelon local, sans un contrôle rigoureux de l'Etat ? Quand on sait qu'en Ariège, Augustin Bonrepaux, ex député et président du département participe en personne à des battues anti-ours ? Quand le député Jean Lassalle crée une Institution (l'IPHB: Institution Patrimoniale du Haut Béarn) soit disant destinée à l'acceptation de l'ours ... tout en jouant les leaders anti-ours zélés dans les réunions publiques ? Quand des élus ceints de l'écharpe tricolore viennent encourager le saccage d'un village pyrénéen qui s'est déclaré favorable à l'ours (Arbas, le 1er avril 2006) ? Mais le "record" en matière de gestion locale de l'ours revient quand même à l'IPHB qui en 12 ans a perçu plus de 10 millions d'euros pour l'ours mais dont plus de 90% ont servi aux forestiers, chasseurs, éleveurs ... mais pas à l'ours dont la population est passée dans le même laps de temps, faute de lâcher et à force de temporiser pour courtiser tout ce monde, de 6-8 ... à 2 ours mâles ! Par contre, l'électorat de Jean Lassalle a bénéficié de la manne. Pour l'ours, en dehors des communes de l'ADET Pays de l'Ours qui ont choisi un projet de territoire volontariste autour de l'ours et de son acceptation, l'échelon décisionnel local, sans réel contrat de droit avec l'Etat, n'a jamais été le garant de l'efficacité ni de l'acceptation de l'ours, il a au contraire servi pour amplifier la construction de son rejet et le clientélisme. 9 - Les pyrénéens sont contre l'ours ? De loin, il peut sembler que toutes les Pyrénées se sont embrasées contre l'ours en 2006. Quand on y regarde de plus près et quand on laisse aux pyrénéens la possibilité de s'exprimer sans pression et sans intimidation, on s'aperçoit que c'est toujours très majoritairement que les Pyrénéens se sont prononcés pour l'ours dans toutes les enquêtes rigoureusement étalonnées disponibles : en 2003 sur 409 personnes pour l'ADET et le WWF, ARSH en 2004 sur 400 personnes pour Pyrénées Magazine, Ifop en 2005 sur 900 personnes pour l'ADET et la totalité des consultations organisés par la presse sur internet depuis 2005. Mieux, lors des 3 forums de concertation officiels où les personnes étaient choisies selon des "critères de représentativité de la population de montagne", des pyrénéens ont dit clairement leur souhait de pouvoir s'exprimer sur l'ours en dehors de la tutelle des élus, véritable aveu de cette "chappe de plomb" sur leur tête et sur le dos de l'ours. Enfin, n'oublions pas les pressions violentes que les anti-ours font subir à tous ceux qui se prononcent pour l'ours (dégradations de biens, insultes, censure par la force...) Dans un contexte où cette minorité terrorise ceux qui osent penser, parler, agir différemment, comment imaginer que le son de cloche favorable à l'ours puisse être audible ? 10 - L'ours menace la biodiversité ? C'est le nouveau discours des ultrapastoraux pour tenter de coller à l'actualité. L'association FERUS a regretté le 25 octobre dernier cette : " propension à trier entre les bonnes et les mauvaises causes (...). Si l’on accepte de perdre "quelques" espèces, on se résigne au fil du temps à en voir disparaître beaucoup plus." Protéger l'ours, c'est protéger la grande diversité de ses habitats dans la montagne pyrénéenne. Les scientifiques disent de l'ours qu'il est une "espèce parapluie", abritant derrière sa protection un cortège impressionnant de plantes et d'animaux pyrénéens. L'étude des "cahiers d'habitat" du réseau Natura 2000 (MNHN) montre que pour les habitats naturels pyrénéens, les préconisations de gestion idéales lorsqu'il s'agit de recourir à des troupeaux pour garder ces habitats en "bon état de conservation", sont très majoritairement les solutions les plus compatibles avec les mesures de protection liées à l'ours : troupeaux au parcours contrôlable (grâce aux chiens et au berger) et où le gardiennage est effectif et constant. La ministre de l'écologie n'avait-elle pas déjà fort justement indiqué en préface du plan de renforcement 2006-2009 : "Garantir la survie de l'ours brun d'Europe, c'est précisément conserver plusieurs noyaux stables partout où il est encore présent. (...) Quelle que soit l'espèce, reporter sur d'autres pays la responsabilité de sa conservation c'est travailler, sans le dire, à sa disparition." *Les ultrapastoraux : tous les éleveurs et bergers pyrénéens sont loin d'être devenus des "ultras" anti-ours. L'"ultrapastoralisme" n'est que la frange extrémiste d'un pastoralisme (élevage transhumant en montagne) qui se trompe de cible et selon lequel seules ses activités agricoles ont droit de cité en montagne, au détriment des espèces animales qui gènent la pratique exclusive de troupeaux non "gardés" mais seulement "surveillés" de loin (dans l'espace et le temps). Leur hostilité concerne aussi certains autres types d'activités de montagne, en particulier le tourisme de découverte doux lié à la présence de l'ours. Les ultrapastoraux n'ont pas reculé devant la violence, le mensonge et l'intimidation pour parvenir à leurs fins et ils refusent en général l'idée même d'essayer les mesures de protection des troupeaux. Ces "ultras" réclament une "concertation" au sujet de l'ours qui ne serait en réalité que la chambre d'enregistrement de leur volonté de voir totalement disparaître l'ours comme animal libre et sauvage dans les Pyrénées. Entretenant des liens avec CPNT ou la FNSEA, ils sont regroupés en associations fédérées par l'ADDIP (ASPAP=09/ADIP=31/ASPP=65/FTEM=64). Bien que minoritaires, ils tiennent le haut du pavé médiatique depuis les lâchers de 2006. _______________________________________________________________________________ Document réalisé par un groupe de citoyens attachés à des Pyrénées sauvages et vivantes, avec l'ours, où l'homme et le sauvage cohabitent en bonne intelligence. Or ... c'est imparable :
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Appel d'un naturaliste trouvé sur le forum Mammi.fr consacré aux mammifères sauvages ( http://fr.groups.yahoo.com/group/mammi-fr/message/1423) Desman des Pyrénées : vos observations m'intéressent ! Le desman des Pyrénées est à la foi l'une des espèces les plus discrètes et l'une de celles qui est la plus menacée en Europe de l'Ouest. Malgré cette discrétion liée à son activité essentiellement nocturne et ses moeurs semi-aquatiques, des observations sont réalisées régulièrement. Toutes ces observations de desman des Pyrénées peuvent apporter des informations utiles à la connaissance et à la conservation de l'espèce et de son habitat. Aussi je me permet de vous solliciter pour recevoir vos observations. Ces observations seront actualisées (1 ou 2 fois par an) et, si vous êtes d'accord, mise en ligne régulièrement sur le site Desman des Pyrénées sous la forme d'une carte où les données recueillies seront ramenées à une maille de 0.1 x 0.1 grade de coté. Outre la carte seront mis en ligne la liste des observateurs, les photographies ou autres documents que vous m'aurez adressés. Alain Bertrand (http://abela.club.fr/Desman.html)
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FRANCE-CULTURE lundi 10 décembre - 16 h-17 h Emission Sur les docks d’Irène Omélianenko ROBERT HAINARD Avec la participation de Marie Pflug-Hainard Pierre Hainard Eric Burnier Stéphan Carbonnaux Philippe Lebreton Jacques Rime Pour dresser le portrait du naturaliste Robert Hainard (1906-1999), grand observateur de renards, ours et autres gypaète ou hermine depuis le cercle polaire jusqu'au cœur du Jura, Sur les Docks s'aventure simplement en terre genevoise. Robert Hainard vécut à Bernex où sa femme Germaine Roten dessina les plans d'une maison qui abrite aujourd'hui une fondation. C'est là qu'en compagnie de ses enfants, Pierre et Marie, nous pénétrons dans l'univers de celui qui, avant la guerre, avait prévu un plan quinquennal de chasse au crayon des grands mammifères d'Europe : ours, bison, lynx, loup.... Robert Hainard fut un homme profondément saisi par notre méconnaissance du monde animal. De ses longues attentes nocturnes jaillirent des dessins puis gravures ou sculptures d'animaux saisis sur le vif jusqu'au cœur de leurs fibres. De ces observations naquirent aussi des réflexions philosophiques le conduisant à anticiper le désastre écologique abondamment dénoncé aujourd'hui. Il prit le parti des animaux, milita pour une société sans croissance et fut consciencieusement "oublié". Le dessinateur Jacques Rime, profondément influencé par Robert Hainard, le jeune naturaliste Stéphan Carbonnaux, auteur de la biographie Robert Hainard, chasseur au crayon, ou encore le médecin Eric Burnier et l'écologiste Philippe Lebreton s'associent à Pierre Hainard et Marie Pflug-Hainard pour nous entraîner dans la quête d'un animal "mystérieux et familier" comme métaphore de ce lien si fragilisé entre ce qui reste de nature et notre société "civilisée".
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La cohabitation pyrénéenne entre l'ours et le pastoralisme invitée à l'exposition "Bêtes et Hommes" Dans le cadre de l'exposition "Bêtes et Hommes" qui a lieu jusqu'au 20 janvier 2008 à la Grande Halle de La Villette à Paris, une table ronde sur le thème de "l'animal enrôlé" était organisée samedi 17 novembre et illustrée par "le cas pyrénéen où l'ours devient le porte-parole de chacun des groupes en présence, bergers, éleveurs, touristes..." . Plusieurs militants pyrénéens de la cause de l'ours avaient fait le déplacement.. La suite ici : http://www.paysdelours.com/fr/liens-rapides/forum.html (cliquer sur le sujet du 25 novembre dont le titre est " cohabitation ours/pastoralisme invitée à Paris")
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Mais c'est évidemment volontairement réducteur ! Bien sûr, on peut essayer de poser le problème autrement (comme tu t'y emploies d'ailleurs, et personne ne te le reproche) mais il reste au bout du compte le plus visible, la mort gratuite, finalité qu'on ne peut pas occulter malgré toutes les précautions, explications et analyses. Tu crois que le taureau, dans l'arêne, les chevaux, les toréros, les matadors, le public font dans la nuance ?
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J'ai critiqué (sans agressivité) la longueur des messages à cause de l'utilisation systématique du bouton "citer" qui rend la lecture difficile. Un point c'est tout. Soyez sympas de convenir que ce n'est pas très lisible.. Bien sûr Olivier, un forum, c'est fait pour échanger et on ne peut reprocher à quiconque de défendre ses arguments, mais le message de Bonobo où il me dit que "poster des photos à la queue leu leu" n'apporte rien et que ses messages à lui sont beaucoup plus intéressants.. c'est de l'échange d'arguments ça ? Donc, recentrons le débat : la corrida est-elle un spectacle cruel, inutile, dégradant pour l'espèce humaine ou au contraire une oeuvre d'art ? Moi, j'ai ma petite idée..
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Les photos de corridas que j'ai postées se suffisent (à mon sens) à elles-mêmes pour que l'on se fasse une opinion. Pas besoin de bavardages interminables pour comprendre que ce " sport " est totalement abject. Quant au reste que tu dis "intéressant", je répète que vos "réponses aux réponses", vos citations et vos contre-citations sont tellement peu ordonnées que ça ne donne pas envie de lire. Faites un effort pour être plus court et n'aborder qu'un seul sujet à la fois. Sauter de la notion de "courage" à Guy Bedos et des ortolans à la biodiversité vue par les céréaliers ou à la colonisation est tout-à-fait indigeste..
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Info sur le blaireau reprise sur un forum consacré aux mammifères sauvages de France ( http://fr.groups.yahoo.com/group/mammi-fr/message/1417) Nous venons de terminer la réalisation d'un film sur le blairau intitulé "Le blaireau, de l'ombre à la lumière". Ce documentaire de 52 minutes témoigne de la situation actuelle du blaireau et de sa perception en France et en Europe. Tout en expliquant le mode de vie et le comportement de cette espèce, ce film est agrémenté de témoignages de scientifiques, naturalistes, agriculteurs ainsi que de chasseurs. Ce film, est avant tout un plaidoyer pour la protection de ce mustélidé dans notre pays. Nous vous invitons a participer à l'avant première de ce film au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris (Auditorium de la grande galerie d'évolution, le jeudi 24 janvier à 20H00. Les places étant limitées, la réservation est par conséquent obligatoire (ENTREES GRATUITES). Pour cela vous pouvez contacter Virginie avant le 11 janvier (dernier délai) par mail à virginiebadger@... ou par téléphone au 06.24.94.35.09 Ce film sera disponible en DVD dès le début de l'année prochaine... En espérant vous voir parmi nous ce 24 janvier. Cordialement Virginie et Johann Association MELES
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Pétitions pour le remplacement des ours tués
Jacques09 a répondu à un(e) sujet de Ugatza dans Actions urgentes
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Oui, C'est d'ailleurs le même problème avec la chasse qui s'appuie elle aussi beaucoup sur le "culturel ", la tradition et... les emplois qu'elle génère pour essayer d'apparaitre comme une activité louable et pour tout dire indispensable. :63: Et je rajoute, (histoire de faire un peu brutos, et quitte à déplaire à Bonobo), que la peine de mort aussi générait des emplois (le bourreau, ceux qui affutaient les guillotines, qui recousaient les cagoules, le curé qui donnait l'extrême onction etc..)
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Je crois qu'il serait mieux de ne traiter ici que les sujets relatifs à la corrida, puisque c'est le titre du départ et de laisser la chasse ou les autres thémes de côté, puisqu'il y a un endroit pour cela sur ce forum. Avis perso rapide sur les derniers échanges : 1) Non, "Blédine" ne "pollue" pas en donnant son sentiment. Elle ne fait que s'exprimer, comme elle en a bien le droit. 2) Oui, les toréros sont courageux. 3) Oui, la corrida, c'est dégueu. 4) Oui, il y a des emplois autour de l'élevage de taureaux de combat (comme autour de la chasse). 5) Cette phrase (de Bonobo) mériterait qu'on débatte : " Défendre un patrimoine naturel en englobant les acteurs locaux et en leur permettant de vivre tout en sauvegardant ce patrimoine oui. Et pour ce faire il faut prendre en compte les éléments économique et financiers " . Sujet intéressant mais qui fait bizarrement penser au discours de ceux qui veulent éradiquer les grands prédateurs pour cause de concurrence avec leurs intérêts immédiats.
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à tous ceux qui aiment les animaux, surtout les chiens
Jacques09 a répondu à un(e) sujet de Wen1 dans Condition Animale