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etienne01

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Tout ce qui a été posté par etienne01

  1. Une première chose : il faut savoir que ton intervention bien que généreuse est totalement illégale que nous la réprouvons et ne pouvons que te conseiller de laisser faire la nature. Le deuxième point : il est impossible en mirant dans un délai aussi bref après la ponte de savoir si les oeufs sont fécondés ou non. Si la forme a pondu, c'est qu'elle est à maturité, il n'y a donc aucune raison que les oeufs ne soient pas fécondés, qu'il s'agisse de sa première ponte ou non. La fécondation est le job du tiercelet, pas de la forme. Sans vouloir t'encourager dans cette démarche, la seule chance de voir aboutir ce projet, est que la forme continue de couver même si ce n'est que quelques heures par jour, jusqu'à éclosion des jeunes : déposer de la nourriture dans l'aire peut être une solution, tout en mettant des oeufs de substitution. A éclosion des jeunes, les remettre dans l'aire tout en continuant d'approvisonner l'aire pendant les absences de la forme pour se substituer au tiercelet. Plusieurs risques : que la forme quitte l'aire définitivement et que tu te retrouves avec 5 jeunes en toute illégalité ( qu'il ne sera probablement pas possible de réintroduire, même dans le cas miraculeux ou tu parviendrais à les amener à maturité ) que la forme recycle ... et qu'une nouvelle couvée soit pondue si un tiercelet revient ! tu te retrouve toujours avec 5 jeunes sur les bras, d'ou l'intérêt de lui mettre des oeufs de substitution.
  2. Concernant les PC, les règles d'urbanisme sont un peu plus compliquées que ça. Je ne peux que vous conseiller de déposer une DT ( déclaration de travaux ) et d'étudier préalablement le POS ( plan d'occupation des sols ) ou PLU ( Plan local d'urbanisme ) de la zone ou vous projetez de réaliser votre chambre de mue. En l'occurence cela concerne bien la mairie de votre commune qui est garante du respect des règles d'urbanismes au niveau local et qui peut de plein droit vous empêcher de réaliser vos installations, si elles ne sont pas conformes au plan d'occupation des sols. L'onc n'a rien à voir avec les règles d'urbanisme. PS : la mise en place de tasseaux verticaux est en effet la plus efficace des méthodes si l'on souhaite garder un oiseau en parfait état.
  3. Il faut arrêter avec le grillage. On ne détient pas des oiseaux de chasse dans des volières, quelque soit la taille des mailles. On le répète à chaque post, et à chaque fois il faut qu'un débutant bousille son oiseau pour le comprendre !
  4. Juste une question : pourquoi avoir mis des copeaux au fond de l'aire ?
  5. Un tierelet d'émerillon, en camargue au mois de mai ?...
  6. Avec du gerfaut / sacre, c'est déjà 3 de trop !
  7. Une réponse en 2 points : 1. la semence d'autour se trouve : généralement dans un autour.. mâle de préférence. 2. si il ne sait pas faire - ce qu'il sera peut-être aussi contraint de faire l'année prochaine, sans avoir jamais essayé - cela faisait justement l'occasion d'apprendre à inséminer.
  8. Mais pourquoi ne pas l'avoir inséminée ?? Entre ton premier message et ton dernier oeuf, tu avais largement le temps de trouver un tiercelet et d'inséminer ! Le forum sert aussi à ça.
  9. C'est que tu n'as jamais regardé une skieuse de dos !
  10. J'espère que tu es plus doué en parachutisme qu'en ski ! Ton exemple est parfait et nous allons respecter les proportions de masse. Mets sur des ski une personne d'un gabarit de 40 kg en combinaison ( un RNS de 600 g ) habille normalement un gaillard de 80 kg ( un gerfaut de 1200 g ), envoie les en schuss dans une pente et tu verras le résultat ! La masse fera clairement la différence. Par ailleurs, le gerfaut n'est pas non plus une buse, et je ne suis pas sur que le frottement dans l'air soit aussi nettement supérieur que celui que tu décris, même si le plumage du pélerin est plus rigide et que le pélerin est plus compact, une fois en piqué, je reste persuadé que la différence aérodynamique reste assez faible.
  11. Le sujet a déjà été débattu à plusieurs reprises : 1 Gerfaut 2 hybride G/P 3.pélerin
  12. Si vraiment il était bon, il serait reçu comme un proche !
  13. Oui c'est le risque ! Attention, il se peut que lui prélever les oeufs sans la laisser couver, puisse la bloquer dans le futur. Lui retirer les oeufs peut peut-être la stresser ou la contrarier plus qu'on imagine. Je laisserais les oeufs, sur une couverture d'épicéa, quelque soient les conditions. J'ai eu le cas une fois, et l'oiseau n'a jamais repondu... Il n'est pas dit que cela était lié a l'enlèvement des oeufs, mais les mécanismes qui déclenchent la ponte sont tellement complexes, qu'il vaut mieux les contrarier un minimum.
  14. Je pense qu'effectivement, seule une chute de parachute à cette vitesse peut expliquer l'argumentation de Nebli ! ou alors, il a oublié qu'il avait oublié de l'ouvrir !
  15. Je ne connais pas le rapport aérodynamique du pélerin, ni celui du gerfaut, mais j'imagine que la différence entre les deux est infime, si elle existe ! On ne compare pas un pélerin à une autruche, mais bien à un autre faucon beaucoup plus lourd, dès lors la différence de masse, avec un aérodynamisme à peu près équivalent doit largement parvenir à compenser cet éventuel écart. Si on pense qu'un parachutiste - avec l'aérodynamisme d'une montgolfière - atteind les 300 km / h, on peut largement penser qu'un gerfaut et même beaucoup d'autres rapaces peuvent les atteindre et les dépasser. Pour preuve, je te laisse faire toi-même le calcul ! : http://fr.wikipedia.org/wiki/A%C3%A9rodynamique
  16. La prise au vent d'un oiseau - quel qu'il soit - n'a rien à voir avec celle d'un parachutiste. Il est aussi indéniable que la masse joue beaucoup. Sans chronomètre, nous avons assisté à des piqués d'aigles ou d'autour en montagne, et bien que l'aérodynamisme de ces oiseaux n'aient rien de comparables à un celui d'un faucon - qu'il soit pélerin ou gerfaut - les vitesses sont impressionnantes et ne doivent pas être très éloignées. En particulier concernant les aigles, avec une anegdote de prise de lagopède en pleine pente sur un piqué de plus de 5 ou 600 m, ou même un pélerin aurait eut du mal. La taille trompe énormément, on le voit lors de la prise. Suivant la taille de l'oiseau, on ne s'aperçoit de sa vitesse réelle que lors de la prise.
  17. Pas vraiment... ce n'est pas la même chose de faire monter un grand faucon dont le poids est largement supérieur au KG, qu'un oiseau de 5 ou 600 g.
  18. Arrête un peu de te la jouer Rigo !! Certes le RNS est un très bel oiseau, mais met sur l'aile n'importe quel tiercelet de pélerin et j'en défie beaucoup de faire la différence en vol avec une forme de RNS. Pour moi l'important reste le plafond. Avec de bons plafonds, tous les oiseaux ont un talent et du style chacun dans leur genre et peu importe l'espèce, qu'il s'agissent d'hybrides, de RNS, peale ou peregrinus.
  19. etienne01

    crécerelle Américain

    On sort du sujet, ce qui serait surtout intéressant est de savoir comment il les prend.
  20. Encore une fois, bravo pour votre pertinence ! Pour ce qui concerne le sondage, ( merci à glassbreizh de le supprimer ...) il est très ancien et date d'une époque ou justement, il était administré par des gens qui ne faisaient pas la différence entre volerie et fauconnerie. A cette époque, il y a avait très peu de membres, dont quelques-uns étranger qui pouvaient faire voler sans chasser dans leur pays. Le plus simple est d'aller à la source ( allez directement à la page 3 ) : /la-fauconnerie-en-general-f2/petit-sondage-t14-30.htm?sid=5aa391f87273f9978fd3146bec465100 Puisque vous êtes observateur, vous avez du aussi lire le portail... : AVERTISSEMENT La fauconnerie est un mode de chasse, la chasse au vol, et n’a rien à voir avec les spectacles de volerie ou la simple détention. Choisissez attentivement la rubrique qui vous convient, essayez de vous faire une opinion sur le sujet qui vous correspond, ensuite des spécialistes seront à même de vous conseiller. Les fauconniers n’encouragent pas la détention de rapace comme animal de compagnie, mais sans être solidaires de leurs propriétaires, et compte tenu de l’intérêt d’un large public concernant ces sujets, de nombreux espaces sont consacrés à ces activités, pour le bien être des oiseaux.
  21. etienne01

    crécerelle Américain

    Soyons sérieux, on parle d'un oiseau de 80 g avec l'envergure d'un merle ! Passé 100 m de plafond, on ne le voit déjà plus ! Morphologiquement, il n'est adapté ni au piqué ni au buffetage. Des oiseaux puissants ont déjà du mal sur des vols d'étourneaux, il est impossible penser en prendre un en vol d'amont avec une crécerelle américaine, même si sa vélocité extraordinaire lui permet en sprint de faire prise sur des oiseaux de sa taille - type étourneau.
  22. etienne01

    Plafonds

    Arrête de ramer tu attaques la falaise. Pour info : la chasse est fermée !
  23. Bonjour jeune homme, Et tout d'abord félicitation pour votre orthographe, qui - malgré quelques petites fautes - nous réconcilie avec votre génération, ainsi que votre sagesse qui consiste à donner le temps au temps ( je vous envie ). Bon... mais pour ce qui est des rapaces... Je frise l'apoplexie à chaque ligne. Vous appartenez a un courant générationnel qui insiste pour assimiler fauconnerie / volerie / écologie / dans un melting-pot sentimento-éthologique magmatique ou je crains que nous ne puissions nous retrouver, et je vais tenter de vous en exposer rapidement les raisons en 3 points : 1. Les fauconniers sont avant tout des chasseurs, et pour eux, seule cette finalité justifie le fait de détenir des rapaces. 2. Légalement on ne peut pas détenir un rapace à titre particulier juste pour le faire voler ou s'amuser avec. Le législateur suit donc l'éthique des fauconniers qui consiste à dire que seul l'utilisation pour la chasse au vol justifie la détention. 3. La volerie est un spectacle public avec des oiseaux, pas un art , si c'en est un, ce n'est en tout cas pas celui de la fauconnerie, mais celui du spectacle. Hélas - votre jeune age vous en excuse - la vie animale n'est pas un fim de W.Dysney et faire cohabiter des rapaces avec des proies ne se passe généralement pas sans heurt. C'est aussi ce spectacle de prédation naturelle qu'apprécient par dessus tout les fauconniers. J'avoue qu'à votre age, je n'aurai déjà pensé qu'à une chose : trouver l'oiseau approprié pour utiliser mes perroquets en escape ! Ceci étant dit, vous semblez déjà avoir une certaine connaissance des oiseaux, et c'est avec plaisir que nous pourrons partager sur l'ornithologie par le biais de ce forum, mais vous l'aurez compris, nous sommes avant tout sur un forum de fauconnerie, donc de chasse... la détention de milans et autres vautours ne nous intéresse guère.
  24. Je crois que l'important n'est pas vraiment d'expliquer ces comportements territoriaux mais surtout d'éviter qu'ils ne deviennent dangereux - à priori pas pour le fauconnier qui anticipe toujours les réactions de l'oiseau - pour un tiers. Tous les oiseaux, que ce soit en captivité ou dans la nature ont des comportements territoriaux plus ou moins marqués, la seule différence, c'est qu'à l'état naturel, les oiseaux comprennent très vite leurs limites ou en deviennent victimes ( coq fou / buse / ect ... ) . Il ne se passe rien d'autre pour votre harris. Si un jour en attaquant, elle se fait sérieusement ramasser par un chien ou même une personne, il est fort probable qu'elle comprendra très vite. Ceci étant dit, vous avez de la chance d'avoir un oiseau aussi agressif, c'est le rêve de beaucoup de fauconniers, il faut aussi en profiter pour utiliser cette agressivité en action de chasse.
  25. Il ne faut pas prendre les oiseaux pour plus bêtes qu'ils ne sont. Lorsqu'un oiseau commence à déclencher son agressivité sur le fauconnier, il faut lui faire comprendre les limites. Je confirme pleinement le post de sergio : la pelle à neige peut être une solution , et pas qu'avec les harris. J'ai eu le cas avec une forme pélerin qui a manqué à plusieurs reprise de me crever les yeux. Une bon coup de jet d'eau et une empoignade ferme au suivi a stoppé net et en une seule fois toutes ses véléités. : une bonne droite ! ( attention, façon de parler : il ne faut jamais frapper un oiseau, par contre, l'empoigner et le maitriser ou le repousser fermement lorsqu'il attaque est envisageable )
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